La saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°773)
Datte: 26/08/2020,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... membre érigé, notre mental et que sais-je encore, ne semblent n’avoir aucun intérêt aux yeux de celle qui nous a fourré. Mais pas le temps de réfléchir plus longtemps, une laisse nous est passée à chacun de nos colliers et nous sommes entrainés derrière le chalet, dans un enclos, une petite prairie, où se trouvent déjà une dizaine d’esclaves mâles et femelles, tous entièrement nus. Ils sont là, à attendre, certains debout, d’autres couchés dans l’herbe fraiche, tel un troupeau qui serait en train de paître. Moi et mon congénère sommes laissés au milieu de ce cheptel. Aucun des esclaves de tout âge, ne s’intéresse à nous, chacun reste dans son coin, sans bouger mais ils semblent tous épanouis. Savent-ils ce que l’on attend de nous ? Ils n’ont pas l’air malheureux, bien au contraire, une sérénité semble les combler d’un bien-être qui se dégage, heureux sans aucun doute d’être ce qu’ils sont, il ressort dans leurs expressions paisibles, sereines une certaine tranquillité… Il est clair qu’à mon instar, ils sont considérés comme des objets sexuels et cela leurs procurent, à l’évidence une plénitude totale dans leur état de soumission Je constate que les mâles bandent tranquillement chacun ...
... dans leur coin mais aucun ne se masturbe, ce qui comme pour moi, doit leur être interdit. Les femelles quant à elle, ont pour la plupart leur cyprine qui dégouline sur leurs cuisses, alors que personne ne les touche et qu’elles ne se caressent pas, non plus. Tous, mâles comme femelles semblent en un état d’excitation tranquille qui est dû, je suppose, par le fait d’être considéré comme du bétail sexuel, ce qui est aussi leur raison de leur présence, ici. Je ne dépareille donc pas en arrivant dans cet enclos avec ma forte érection qui parait donc toute normale et naturelle… Une heure peut-être vient de passer, et nous voilà tous contraints de sortir de cet enclos, tous à quatre pattes, en file indienne, le nez dans le cul de celui ou celle qui nous précède. Nous regagnons l’immense chalet et particulièrement une vaste salle en sous-sol. Nous sommes triés, par deux dominantes assez âgées et bougonnes, les femelles d’un côté les mâles de l’autre. Je suis attrapé par l’une des deux Dominas. Elle se saisit de mes couilles et m’entraine dans un coin sombre de la vaste pièce : - Couche-toi à plat dos ici ! la pute, m’ordonne-t-elle sévèrement… Je m’exécute en bandant fort encore… (A suivre…)