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Agréable vengeance (1)
Datte: 27/08/2020, Catégories: Partouze / Groupe
J’avais travaillé comme une dingue et j’avais réussi à sauver ce contrat avec un gros client qu’un de mes collègues avait bien failli faire foirer. Content, le patron m’avait dit : "Alice, vous pouvez prendre votre après-midi. Vous ne l’avez pas volée." Je ne me l’étais pas fait dire deux fois. J’avais pris mes affaires et j’étais partie avant qu’on ne me demande un nouveau service qui m’aurait obligée à rester en fin de compte. Aussitôt dans la rue, j’avais pris mon portable pour appeler mon chéri, Kévin. A cette heure-ci il devait sortir du boulot ou à peu près. Il prenait ses RTT le vendredi après-midi. Je voulais lui demander de passer me prendre. On pourrait bouffer ensemble, faire quelques courses et rentrer à la maison. J’avais envie de lui montrer quelques petits trucs car on songeait à se marier. On était ensemble depuis quatre ans, Je l’avais rencontré à une soirée en boîte, mes copines m’ayant fait sortir quand j’avais coiffé Sainte-Catherine le jour de mes 25 ans On s’était installés dans cet appart trois mois plus tard. Malheureusement mon portable était déchargé. J’eus l’envie de retourner au bureau pour l’appeler de là-bas, mais j’y renonçai. Si son téléphone était sur répondeur, je perdrais mon temps. Je décidai donc de rentrer en bus. Je pris tout mon temps, flânant, faisant du lèche-vitrine... On habite un petit immeuble au fond d’une cité dortoir à quinze kilomètres du centre. Autour, il y a trois autres bâtiments identiques, de quatre étages chacun. Je ...
... traversai la vaste place parsemée de petits coins de verdure plus ou moins abrités avec des bancs ou des jeux pour enfants. Les mamans rentraient après avoir emmené leurs gamins à l’école. Je croisai Alexandre, un grand black sympathique d’une vingtaine d’années, qui vivait de petits boulots et de menus services, et qui passait du temps ici à rien faire qu’à discuter avec ses potes quand le travail se faisait rare. Il était avec Steeve et Jimmy, sur les bancs du bosquet , bien tranquilles la derrière les jardinières. J’apercevais seulement la tête d’Alex et la casquette des deux autres, sûrement assis, dans un nuage de fumée: "salut Alice" me fit Alex. Salut les garçons. Les autres répondirent, "Salut Alice". Mais je ne m’arrêtai pas comme je faisais souvent pour taper un peu la discute avec eux . Je venais d’apercevoir la voiture sur le parking et les volets de la chambre étaient fermés alors que je les avais laissés ouverts ce matin. Donc Kévin était rentré et, comme il s’était levé tôt, il devait s’être allongé pour une sieste. Je rentrai donc dans l’appart sans faire de bruit. Au moment où je franchis le seuil, j’entendis un gémissement féminin, suivi d’un autre. Je me dis qu’il devait finalement être en train de regarder un film de boules. Il savait que je n’aime pas trop cela et je l’imaginais profitant de mon absence pour se taper une queue en solitaire devant un truc bien hard. Je m’approchai donc lentement du salon pour le prendre en flagrant délit devant la téloche ou ...