1. Agréable vengeance (1)


    Datte: 27/08/2020, Catégories: Partouze / Groupe

    ... d’accoucher. Elle est partie l’aider pendant quelques jours. Tu peux rester à la maison en attendant. J’acceptai la proposition et m’installai chez Alex qui m’emmena aussitôt chez lui, m’offrit sa chambre. Quand tout fut OK et après avoir discuté un long moment, je lui demandai de m’accompagner chez moi juste le temps de prendre quelques affaires et de me protéger si Kévin était là. A ma grande surprise ce dernier était toujours attaché dans le salon. Personne ne l’avait détaché. Il me regarda avec un air imbécile. Dans la chambre, Saïd, en levrette, était en train de ramoner ma mère qui avait l’air d’apprécier. Je pris mes affaires. Le soir j’allai me coucher. Je m’étendis nue sous les draps. Je me sentais seule. Avant d’aller se pieuter à son tour, Alex frappa à la porte. Je lui dis d’entrer. Il était torse nu et portait juste un pantalon de pyjama qui dissimulait mal la grosse proéminence de son paquet. " Tu as besoin de quelque chose ?" me demanda-t-il. — Je me sens juste un peu seule, et triste. — Tu veux qu’on cause ? En guise de réponse, j’ouvris les draps, écartai mes cuisses et lui dis : ’Viens". C’était la réponse qu’il attendait. Il baissa son pantalon libérant sa bite qui se raidissait à vue d’œil et il s’allongea sur moi. Nous fîmes l’amour tout le week-end. C’était un extraordinaire amant, ...
    ... très endurant et très attentif à mes propres sensations. Peu de mecs savent écouter le corps de leur partenaire et donner autant de plaisir qu’ils en reçoivent. Je payai ainsi ma location chez lui. Plus tard, je trouvai un nouvel appartement. Je fis prendre le reste de mes affaires par des potes. Je ne revis plus jamais Kévin. Quant à ma mère, Saïd en était fou. Il s’installa chez elle pendant quelques temps, tout en partageant avec ses potes les faveurs orgiaques qu’elle lui consentit. Il avait mis les photos en ligne. Je lui avais demandé d’enlever les miennes. Il ne restait que celles de ma mère. Plusieurs mecs de s connaissance les avaient vues. Il en fit la publicité. "Bonne vieille pute à gros seins qui taille des pipes comme pas une et qui est bonne sous l’homme". Si on voulait la baiser, il n’y avait qu’à demander. Et il en vint, des jeunes et des vieux, des puceaux et des expérimentés, des célibataires et des mariés. Ma mère devint le vide couilles du quartier. Il me le raconta lui même plus tard, sans retenue et sans pudeur. Elle, je ne l’ai toujours pas revue... Depuis, j’ai repris un appartement. Quand j’ai du vague à l’âme, je téléphone à Alex. Il vient, parfois accompagné à ma demande. Il voudrait bien qu’on se mette ensemble. Je ne suis pas prête à me remettre en couple pour le moment... 
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