1. Agréable vengeance (1)


    Datte: 27/08/2020, Catégories: Partouze / Groupe

    ... l’ordi et l’engueuler un peu. Je m’amusais déjà de la tête qu’il ferait en me voyant. Mais il n’était pas dans le salon. Le bruit venait de la chambre. J’eus une sueur froide dans le dos, un mauvais pressentiment. Je rentrai dans le couloir. La porte de la chambre était entrebâillée laissant passer la faible lumière de la lampe de chevet. Je collai mon œil et je portai ma main tremblante à ma bouche pour retenir un cri. Je ne pus voir que les jambes écartées de la fille et le bas du corps de mon mec dessus. Ils étaient en missionnaire et il retirait lentement sa grosse queue pour la refoutre d’un coup sec tout au fond, ce qui la faisait gémir à chaque fois qu’il la percutait. Je voyais son cul musclé rond et ferme s’agiter, la trace sombre des poils dans la raie de son cul qui se densifiaient en allant recouvrir ses grosses boules et qui s’évanouissaient un peu quand les muscles se contractaient. Je reculai sans rien dire, pétrifiée, tremblante. Je tombai assise, hébétée sur un fauteuil. Je tendis la main vers la table de salon et son petit rangement à bouteilles pour attraper le whisky. Je débouchai et avalai une grande rasade. Je restai là je ne sais combien de temps, frappée de stupeur, incapable de réagir. C’est le son de la voix du mâle et les plaintes orgasmiques de la fille qui me ramenèrent un peu à la réalité. C’est alors que j’aperçus un sac sur le canapé, un sac à main. Ce sac je ne le connaissais que trop bien. Ce n’était pas possible. Elle l’avait oublié.... un ...
    ... autre jour.... Ce n’était pas elle qui... que... Je me levai pour en avoir le cœur net, plus tétanisée que jamais. Ils avaient changé de place. Je poussai légèrement la porte pour mieux épier, sans être vue. Elle s’était allongée comme en position de l’étoile, sur le côté gauche, face à moi donc, la jambe gauche tendue sur le matelas, la droite repliée et lui, assis à cheval au dessus de la jambe raide, la limait sauvagement en lui pétrissant son gros nichon d’un blanc laiteux et en bavant des insultes : "T’aime la queue hein salope? Tu jouis grosse pute hein? T’aime que je te remplisse la chatte comme ça grosse truie. T’en veux toujours plus de la bite chiennasse... Tu la sens ma grosse trique bien dure... Elle te fait jouir... aller, prends-la ma queue, là....". Pour toute réponse la rouquine répondait par des "oui" à peine articulés et des râles de bonheur.... et cette rouquine, dont j’avais bien reconnu le sac, c’était ma mère ! Je retournai dans le salon en sentant ma haine monter et un désir de vengeance exploser en moi... Oui mais quoi ? Comment ? C’est alors que j’aperçus les garçons par la fenêtre. J’agis alors sans réfléchir. Kévin est endurant, certes, mais il fallait le prendre de vitesse, avant qu’il ait fini de baiser ma vielle pute de mère. Je fus vite dans le bosquet. "Les garçons, je peux vous demander un service"? — On n’a rien à te refuser, tu sais bien Alice. Je soulevai ma mini-jupe et baissai ma culotte pour leur montrer ma petite moule rose avec son joli ...
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