La plus belle, la plus douce
Datte: 11/10/2017,
Catégories:
fh,
fhhh,
jeunes,
copains,
boitenuit,
Oral
fdanus,
Depuis que je suis arrivé à la fac et que j’ai croisé le chemin de Laetitia, je ne suis plus le même. Cette fille dégage une sensualité extraordinaire, quoiqu’elle fasse et de quelque façon qu’elle s’habille. Ce n’est pourtant pas une beauté hors du commun. Non, elle est jolie certes, très jolie même, mais ce n’est pas cela, c’est plutôt une sorte de rayonnement qui émane d’elle qui rend les mecs tout chose en sa présence. Elle est assez grande, elle doit approcher le mètre 70 (pour moi, c’est grand parce que je ne fais pas beaucoup plus d’un mètre 75), et, sans être dodue, elle a des formes très… affirmées dirons-nous. Une longue chevelure presque rousse, avec des mèches blondes, et des yeux dorés striés de vert lui donnent un air un peu étrange, un peu sorcière ; pas vieille sorcière, bien sûr, belle sorcière. En tout cas, on peut dire qu’elle ne laisse personne indifférent, même les nanas. J’ai toujours eu du mal à aborder les filles, je suis plutôt timide, et dès que je m’intéresse à l’une d’elle, je perds tous mes moyens. Alors avec une fille comme ça, vous pensez bien ! J’ai donc utilisé une autre technique : pour me rapprocher d’elle j’ai repéré les gens avec qui elle était le plus souvent, garçons et filles, et je suis rentré progressivement dans le petit groupe de ses aficionados. Mais même si je suis de temps en temps en sa présence, je suis toujours complètement transparent. J’ai bien essayé de discuter quelquefois avec elle, et même, à une ou deux reprises, nous ...
... sommes allés boire un verre à la sortie des cours ; mais bien qu’étant seule avec moi et qu’elle m’ait écouté avec gentillesse, j’ai chaque fois eu le sentiment que son regard me transperçait. J’étais là et en même temps, pour elle, je n’y étais pas. Mais je ne me décourageais pas pour autant et je ne ratais aucune occasion d’être des mêmes sorties qu’elle, en espérant qu’un jour, peut-être… Et justement ce soir, une bonne partie du groupe est en route pour une boîte assez spéciale, assez intimiste où nous sommes déjà allés quelquefois. L’ambiance est joyeuse sur le chemin qui sépare le parking de l’entrée de l’établissement et j’essaie de ne pas rester trop loin d’elle, de lui faire sentir discrètement ma présence. Peu avant d’entrer, je me retourne pour voir si elle n’est pas trop loin, histoire de bien me positionner quand nous prendrons place à une table. Elle est en retard, dix pas en arrière au moins, penchée en train de retirer une de ses chaussures si élégantes, si fines, sans doute pour retirer un petit caillou. Au moment où elle repart, trois types d’allure assez sympa l’abordent. Je ne sais pas ce que lui dit celui qui l’a interpellée, mais elle rigole franchement. Elle continue son chemin en discutant gaiement avec eux, très enjouée. Manifestement, le courant passe. Il passe si bien, d’ailleurs, qu’une fois entrée dans la boîte, elle les suit, et passe à côté de la table à laquelle nous nous installons sans s’arrêter, en nous faisant un petit signe de la main qui ...