1. La plus belle, la plus douce


    Datte: 11/10/2017, Catégories: fh, fhhh, jeunes, copains, boitenuit, Oral fdanus,

    ... Sans m’en apercevoir, j’ai parlé à voix haute et Virginie, à côté de moi, me demande : — Qu’est-ce que tu dis ?— Regarde, ils sont carrément en train de la déshabiller !— Ah, tu parles encore de Laetitia. Et alors ? Ça la regarde, me fait-elle froidement. Je reprends mon observation. Le baiser s’est interrompu et les palpations se sont un peu calmées pendant que je parlais à Virginie. Laetitia a les joues en feu, semble-t-il. Conciliabule. Ils ont l’air de lui proposer quelque chose. Je ne comprends pas, ils montrent le fond de la salle. Elle ne comprend pas non plus et se fait expliquer. Puis elle fait un geste de dénégation de la tête. Ça me rassure qu’elle ait l’air de ne pas vouloir ce qu’ils lui proposent (bien que je ne sache absolument pas ce qu’ils lui ont dit, mais ça me paraît de toute façon un bon point). Ils font mine de ne pas insister et commandent à nouveau à boire. Ils prennent le temps de siroter leur nouvelle boisson, certainement pas du jus de fruit d’après ce que je peux voir. Tous les quatre devisent tranquillement pendant un bon moment ; et au moment où je pense que leur soirée va se poursuivre gentiment, les types recommencent à lui demander quelque chose en montrant le fond de la salle. Je ne comprends rien à leur manège et je demande à Virginie si elle a une idée de ce qu’ils veulent. Elle les observe un instant et me dit : — Je vois que tu ne connais pas très bien la boîte et ses coutumes ! En fait, ils sont tout simplement en train de lui proposer ...
    ... d’aller faire un tour dans un salon du fond pour qu’ils puissent la baiser tranquillement ! J’ai un haut-le-cœur ! Laetitia semble maintenant indécise, ce qui me scandalise. Il y a quelques minutes, elle avait refusé la même proposition et voilà que maintenant elle réfléchit, comme si une réponse négative n’allait pas de soi. Sentant qu’il ne fallait pas lui laisser le temps de la réflexion, l’embrasseur se lève et lui prend la main pour l’aider à se lever. Le masturbateur lui prend l’autre main et sous leur traction conjuguée, elle se redresse. Ils l’entraînent vers les fameux salons. Je trouve qu’elle ne fait vraiment pas grand-chose pour résister et je suis complètement démoralisé. Comme ils passent près de nous, sa robe courte virevolte sur ses fesses cambrées et ses cuisses sont découvertes plus que de raison. Bon Dieu, c’est fou ce qu’elle est bandante. Voyant mon air désespéré, Virginie me demande si je veux en avoir le cœur net. — Je ne sais pas si je veux vraiment, mais je ne vois pas comment je pourrais savoir. Ça m’étonnerait fort qu’ils laissent la porte ouverte.— Il y a peut-être un moyen. Suis-moi. Et elle me prend la main pour m’entraîner à mon tour vers les fameux salons. Arrivés à proximité de celui dans lequel ils ont disparu, elle met son index sur sa bouche et ouvre sans bruit la porte de la pièce qui le jouxte. J’entre dans ce qui ressemble plus à un grand placard qu’à une pièce. Il fait sombre, mais je comprends pourquoi Virginie m’a amené là : une grande ...
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