La plus belle, la plus douce
Datte: 11/10/2017,
Catégories:
fh,
fhhh,
jeunes,
copains,
boitenuit,
Oral
fdanus,
... palpation. Le troisième larron, assis à sa droite, doit se sentir un peu délaissé. Alors il pose avec précaution sa main sur la cuisse découverte par la robe un peu remontée. Tout d’abord très sagement, près du genou. Encouragé par l’absence de réaction, il s’enhardit et la fait remonter lentement. Elle a des petits mouvements de sa main droite (la gauche est bloquée par l’embrasseur), comme pour dire "arrêtez", mais très faibles, pas du tout convaincants. La main continue donc à monter et disparaît bientôt sous la robe courte sans provoquer beaucoup de réaction. Pendant ce temps-là, le palpeur lui malaxe outrageusement le sein droit. Je suis atterré par l’attitude de Laetitia, déçu aussi bien sûr, car je ne l’imaginais pas ainsi, pas aussi "fille facile". Et jaloux bien entendu, car je donnerais cher pour être à la place de n’importe lequel des trois. L’embrasseur lui laisse quelques secondes pour reprendre son souffle et elle essaie de dire quelque chose, mais il la bâillonne aussitôt d’un nouveau baiser. La main continue inexorablement sa progression vers le haut de la cuisse, vers le pli de l’aine où la peau est si douce. Laetitia commence à se trémousser. J’ai l’impression qu’à ce moment elle aimerait bien pouvoir contrôler le déroulement des évènements et peut-être stopper les frais. Mais elle ne contrôle plus grand-chose, alors elle pose sa main sur celle qui est posée sur sa cuisse ; mais rien n’y fait, les doigts continuent de remonter en relevant un peu plus la robe ...
... par la même occasion. D’où je suis, j’ai une vue plongeante sur ses cuisses et je vois bien que les doigts du type sont maintenant sur sa culotte et la masturbent doucement. — Ils s’emmerdent pas quand même ! Tu savais qu’elle était comme ça ? demandais-je à Virginie. Ah oui, j’ai oublié de vous présenter ma voisine, Virginie. Jolie fille aussi, dans un genre très différent. Plus discrète sans doute. — De qui tu parles ? Ah, oui ! Non, je ne savais pas. Mais dis donc, je trouve que tu t’intéresses beaucoup à ses faits et gestes.— Non, non, c’est pas ça. Mais quand même… Laetitia se tortille et essaie de serrer les jambes, mais ses deux compagnons de droite et de gauche tiennent chacun une jambe de leur main libre et la forcent à garder les cuisses légèrement écartées. J’ai ainsi tout loisir de voir que la main aventureuse essaie maintenant d’entrer dans la culotte. Deux doigts tentent de se glisser sous l’élastique de la cuisse droite, et ils y réussissent ! Elle se tortille de plus belle. Le palpeur ne perd pas son temps non plus. Tranquillement, il baisse la fine épaulette droite de sa robe, ainsi que la bretelle de son soutien-gorge, toujours en lui susurrant des trucs à l’oreille et en lui pétrissant le sein qui ne devrait plus tarder à jaillir de son cocon. Quelques secondes plus tard, elle a un soubresaut et agrippe fermement la main qui furète dans sa culotte. Je viens de comprendre que le gars est en train de la doigter ! — Si ça continue, ils vont la mettre à poil ! ...