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Chroniques d'un employé modèle (6)
Datte: 31/08/2020, Catégories: Partouze / Groupe
Ce texte, comme les quatre premiers épisodes de la série, a déjà été publié sur un autre forum. Ecrit il y a trois ans, je l’avais un peu mis de côté car le contexte suggérait de le poster pendant la période des fêtes de fin d’année. Je suis un peu en retard, mais le voici tout de même... *** Mon regard s’égare quelques secondes dans son profond décolleté, dans la gorge formée entre ses deux seins fermes. On les devine sous le tailleur noir et le chemisier blanc que l’insolente caissière brune a déboutonné jusqu’au niveau de son nombril. Je me surprends à envisager ma main répondant à l’invitation et se frayant un chemin entre les deux globes bronzés. Je l’imagine prenant le soleil, nue sur la plage. Elle me sourit. Je rougis. Derrière moi, la longue file s’impatiente. Le jour du repas de Noël, tout le monde se précipite à la même heure au restaurant d’entreprise, à l’appel du foie gras et de la bûche crémeuse. Je me saisis de mon plateau, rend son sourire à la coquine, et balaye la salle du regard à la recherche de mes collègues. Ils sont déjà tous les quatre en train de manger. Géraldine préside, assise au milieu d’un côté de la table. Elle porte un tailleur pantalon bordeaux assorti, par un amusant hasard, à la cravate de Patrick qui se tient à sa gauche dans son costume noir. Face à la directrice Anne, lajeune femme qui partage mon bureau, et Aurélie, notre assistante, discutent en riant. Je viens m’installer à droite de Géraldine, complétant la tablée de notre petit ...
... Département des Ressources Humaines. Ils ont déjà bien entamé leur foie gras et je me mets en devoir de les rattraper. Les filles semblent de plus en plus s’amuser. Leur conversation bat son plein lorsque je remarque que Patrick se fige. Il se penche vers moi, et me regarde avec un pâle sourire interrogateur. Je le fixe, curieux, comme si une explication devait arriver. Je sens alors quelque chose remonter le long de ma cuisse droite. Une jambe armée d’un talon aiguille, si j’en juge par la petite douleur qui envahit brutalement monentrejambe sous ses pressions répétées. Me voilà à mon tour figé et interrogateur. Aurélie est cambrée, les mains cramponnées à sa chaise, afin de diriger au mieux les mouvements de son pied taquin. Sa poitrine s’en trouve avantageusement bombée, dessinant la pointe de ses tétons dressés sous l’étoffe tendue de son chemisier de soie bleu roi. A sa gauche, Anne se tient à peu de choses près dans la même position dans son tailleur noir, se concentrant sur Patrick. Les deux canailles pouffent. Le bruit des escarpins qui tombent sur le sol me laisse deviner que ces dames viennent de se déchausser. Les deux talons d’Aurélie reprennent leur travail de massage sur mon intimité. La secrétaire rit en me sentant durcir. J’ouvre fébrilement ma braguette pour laisser mon sexe se dresser entre les habiles pieds gainés de bas. Ils glissent de haut en bas. Le doux contact du nylon me fait trembler, m’excite. Agrippée à son siège, Aurélie se concentre pour assurer une ...