1. Chroniques d'un employé modèle (6)


    Datte: 31/08/2020, Catégories: Partouze / Groupe

    ... masturbation régulière. Son visage s’est fermé, et son sourire a laissé place à une moue déterminée. Mon regard se déplace sur Anne, à l’évidence elle aussi très appliquée, puis sur Patrick, haletant, et enfin sur Géraldine. Les battements de mon cœur s’accélèrent : la veste de son élégant tailleur est ouverte, et elle masse au dessus de son plateau repas ses deux superbes seins dégagés de leur soutien-gorge blanc. Géraldine semble apprécier ce qui se déroule sous la table et qu’elle doit se contenter d’imaginer à travers l’expression de ses collaborateurs. En revanche, le spectacle de sa poitrine dénudée paraît attirer l’attention des tables voisines. Elle est si tentante. Offerte. Je me tourne et avance une main vers elle. La directrice se laisse faire. Je soupèse la lourde mamelle qui se déforme sous la pression de ma paume. La soulève légèrement. Mes doigts se referment et s’enfoncent, se rouvrent et la caressent, glissent autour du mamelon sans oser le toucher. Patrick se laisse aller et entreprend à son tour le sein gauche entièrement laissé à sa disposition. Les deux allumeuses se sont redressées et nous observent, probablement fières de ce qu’elles ont déclenché maintenant que nos pénis ont échappé à leur emprise. Elles gloussent alors que les deux messieurs avec lesquels elles travaillent tous les jours s’inclinent, tels des nourrissons affamés pour saisir entre leurs lèvres les tétons de madame Leray. Ma langue glisse autour de la petite pointe, mes dents la ...
    ... tirent tout doucement puis la relâchent. J’aspire, j’avale ce sein de toute ma bouche. "Allons messieurs, il est tard, mangez vos desserts et finissons-en". Elle se dégage, attrape le gâteau à la crème en forme de bûche qui reste sur son plateau et le coupe avec ses doigts en deux parts vaguement égales. Pousse son siège en arrière et écrase les deux morceaux de pâtisserie sur sa poitrine. La rumeur s’intensifie autour de nous, mais ni Patrick ni moi ne semblons l’entendre. Ce que nous avons à faire ne se discute pas. Nous abandonnons nos chaises pour tomber à genou et reprendre la dégustation de ces seins délicieux. Des morceaux de génoise couverts de crème tombent sur le pantalon de Géraldine. Mon menton et mon nez se couvrent de dessert. Je suce, j’avale encore. Ma main pétrit la chair généreuse, mes doigts glissent sur la peau luisante de cette femme élégante souillée par la bûche massacrée. D’un geste, la directrice me fait comprendre que je dois me relever : son index passe sous mon menton poisseux et cherche à me faire lever la tête par petites tapes impérieuses. Une fois redressé, je fais face à Patrick. Nos sexes pointent, fiers hors de nos pantalons sombres, vers le visage de Géraldine. zhbzggke Je regarde ses seins sur lesquels les restes du gâteau s’étalent en miettes et traînées de chocolat mêlées desalive. Ses mains nous empoignent. Nul doute qu’elle souhaite elle aussi déguster un peu de crème avant de quitter le restaurant. Ses doigts délicats nous branlent en ...