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Chroniques d'un employé modèle (6)
Datte: 31/08/2020, Catégories: Partouze / Groupe
... rythme. Je regarde, hypnotisé, les ongles dont la couleur est assortie au tailleur aller et venir en dansant sur ma verge. Nos glands s’entrechoquent, sa langue mutine et gourmande les titille. Le mouvement s’accélère. Elle nous enfourne goulument l’un après l’autre. Des gémissements s’étouffent dans sa gorge obstruée. Elle s’affaire avec vigueur, passant de lui à moi, de moi à lui. Patrick serre les dents mais n’y tient plus. Il jouit le premier dans labouche grande ouverte. Je me dis que la blondeur des cheveux de notre chef tranche avec le rouge de ses lèvres, et avec le blanc qui coule maintenant dessus. La décharge de mon collègue achève de retourner mes sens et je ne puis retenir la mienne. Nossemences se mélangent en un nectar qu’elle semble apprécier. Sur sa poitrine, quelques jets s’égarent en traces blanchâtres. Le dessert de Noël était un peu trop sucré à mon goût, et des lèvres se posant à cet instant sur ces seins plantureux apprécieraient certainement la petite touche d’amertume que nous venons d’y déposer… La pression de mon sang chute dans mes tempes. Mon cœur se calme un peu. Mon regard balaye la salle dans laquelle ne bruissent plus que quelques chuchotements. Tous les yeux sont tournés vers nous. Je crois apercevoir par ci, mal caché sous un pan de veste, un pénis dressé que des doigts charitables flattent, et par là une main baladeuse occupée sous un chemisier. Aurélie la brune et Anne la rousse se sont levées. Un sourire glorieux toujours aux lèvres, elles tirent sur leur jupe. Auraient-elles donné à Géraldine une démonstration de l’agilité de leurs doigts entre leurs jambes alors que Patrick et moi étions si affairés ? A la caisse, en tout cas, la jeune femme au décolleté ravageur offre maintenant sans équivoque à la longue queue de ses clients des lèvres humides que sa jupe noire bien trop courte n’a aucune envie de cacher.