1. Ma tante de 45 ans est sublime (4)


    Datte: 11/10/2017, Catégories: Inceste / Tabou

    À 18 heures pile, comme un fonctionnaire, je filai dans mon studio pour mieux rejoindre ma tante plus tard. Sur le chemin, j’en profitai pour acheter un bouquet de fleurs, mélange de marguerites et de roses. J’arrivai devant la maison de ma tante en faisant un « ouf » de soulagement, en apercevant sa voiture. Je pris soin de me garer comme d’habitude à 50 mètres environ, encore pour ne pas attirer l’attention des voisins... quand ce n’était pas celle des collègues. En arrivant, je sonnai et ma tante vint m’ouvrir, sans veste, avec son chemisier beige clair qui fit apparaître la pointe de ses seins vigoureux à souhait... — Oh non, il ne fallait pas... C’est tellement gentil ! En guise de récompense, j’eus droit à un long baiser qui dura bien quelques minutes, une fois la porte fermée. « La prochaine fois, j’achèterai à nouveau des fleurs... » pensai-je en silence. — Tu sais, Jean, ce serait plus simple que je te donne un double des clés, chéri. Quand je pense que ma tante m’appelait "chéri", cela me faisait tout drôle. Ma tante était devenue ma compagne, la compagne de mes rêves les plus fous. Avec ma tante, je réalisais l’impossible – baiser, certes – mais aussi être aimé par une femme de sa classe, de son âge, si mûre et sensuelle à la fois. Elle partit dans la cuisine chercher un vase puis revint dans le salon. Elle posa le bouquet sur la table à apéritif puis vint se blottir contre moi, et enleva ses chaussures. Je lui passai le bras autour du cou en lui dégrafant son ...
    ... chemisier, sans oublier de coller mes lèvres contre les siennes. — Tu sens super bon ; tu as pris une douche ? — Oui, Jean, comme je savais que tu venais... me dit-elle avec un sourire coquin. J’arrêtai de l’embrasser pour me lever et lui proposer un verre. En toute simplicité, nous prîmes un Coca. Je vins me rasseoir près d’elle sur son grand canapé. Nous avions allumé la télé pour regarder les actualités et ma tante, assise à mes côtés avec le chemisier ouvert, me donnait une vue imprenable sur sa poitrine. — Tu as remarqué que j’ai enlevé mon soutien-gorge... me dit-elle. Ah ça, je l’avais remarqué ! Je voyais la pointe de ses jolis tétons à travers son chemisier, ce qui était, avouons-le, super excitant de la voir ainsi aussi "légère". Je regardais ses seins majestueux en forme de poire, symbole de la féminité. Ses mamelons roses pointaient vers moi : la douche avait fait son effet, ainsi que ma présence. Voir ou deviner sa poitrine sous son chemisier était devenu un objet de convoitise, et une furieuse envie s’empara de moi. Tandis que ma tante regardait les infos, je lui pris sa poitrine en dessinant des courbes avec mes mains. — Dis donc, mon neveu, tu en profites... — Avec des seins aussi beaux, je ne vais pas les laisser dans leur coin ! Je fumais rarement, mais pour l’occasion j’avais préparé une cigarette avec cette substance illicite en Angleterre comme en France. Ce n’était pas la fin du monde : c’était bien légal dans certains pays européens, voire dans des États ...
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