1. Ma tante de 45 ans est sublime (4)


    Datte: 11/10/2017, Catégories: Inceste / Tabou

    ... prit avec la main et le dirigea sur ses lèvres de long en large tout en faisant des baisers. Elle ne voyait pas le temps passer, trop occupée à choyer mon sexe devenu le sien. Peut-être était-ce une impression, mais Chantal prenait un plaisir fou à jouer avec ma verge gorgée à souhait. Elle se mit à la sucer lentement, délicatement, sans empressement. Elle alterna de façon subtile son va-et-vient pour venir lécher avec la pointe de sa langue le bout de mon gland ; c’était un spectacle éblouissant : j’avais sa tête sur mes genoux et elle m’engloutissait la verge à son bon vouloir au fond de sa bouche. Je crois bien qu’elle était dans son monde depuis qu’elle avait fumé. Il n’y avait plus que mon sexe qui comptait pour elle ; il était devenu son instrument à elle. Elle était véritablement amoureuse de lui, folle de plaisir de pouvoir tantôt le sucer, le lécher, le décalotter, l’embrasser, le gober à peine bouche. C’était comme son objet de jouissance dont elle prenait le plus grand soin. Elle s’y prenait avec une telle douceur qu’on eût cru qu’elle avait peur de l’abîmer : c’était sa façon à elle de le protéger ou de mieux le connaître quand elle l’aurait au fond d’elle-même. Elle "câlinait" ma verge comme une mère rassure son petit. Puis elle ralentit et me regarda, curieuse. — Jean... Tu aimerais que j’aille jusqu’au bout ? En guise de réponse, une longue caresse sur son visage l’invita à continuer son œuvre remarquable. Chantal accéléra le mouvement mais de façon modérée, ...
    ... toujours aussi sensuelle. Elle "m’avait" en bouche en permanence, elle faisait ce qu’elle voulait ; tantôt elle m’aspirait tout en jouant avec sa langue, tantôt elle me couvrait de petits baisers, comme exténuée par le plaisir que mon sexe lui procurait. Ma tante me suçait telle une déesse ; pour l’encourager – mais était-ce nécessaire ? – je lui caressai son intimité totalement ouverte pour y glisser un, puis deux de mes doigts. Cela lui procura un petit gémissement, ce qui eut pour effet d’augmenter sa cadence avec sa bouche si agile. Cela faisait près d’une demi-heure que Chantal, allongée, me suçait avec délectation sur une zone érogène stratégique ; les premiers spasmes, que je contenais depuis un certain moment, se firent plus présents. Je caressais toute sa chair ; elle m’appartenait entièrement. Je la regardais me sucer, je la regardais tant elle s’appliquait... tant elle aimait mon sexe qu’elle choyait comme un bijou. — Chantal, je crois que je viens... — Viens, mon neveu, viens dans la bouche de ta Chantal ! D’un seul coup, un long jet de bonheur se déversa dans la bouche de ma tante qui, imperturbable, continua de pomper l’objet du plaisir tout en avalant une première gorgée. Elle se recula d’un ou deux centimètres pour le deuxième jet, qui lui éclaboussa ses douces lèvres. Elle s’empressa avec sa langue et ses doigts de s’essuyer la bouche pour mieux m’aspirer. Elle avala une nouvelle fois ma liqueur. — Continue de me sucer, Tatie... — Oui, mon amour. Et ainsi elle ...
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