1. Ma tante de 45 ans est sublime (4)


    Datte: 11/10/2017, Catégories: Inceste / Tabou

    ... continua à gober mon gland avec amour, m’aspirant totalement avec sa bouche. Je la caressais sans retenue, lui enfonçant sans difficulté mesdeux doigts dans sa chatte brûlante, appelant à se faire pénétrer au plus vite. L’expression n’est guère plaisante, mais force était de constater que ma tante m’avait littéralement "vidé", forte de son expérience, de l’habilité de ses mains et de sa langue si précise. — Ça t’a plu, mon chéri ? — Il faudra que tu recommences, ma Tatie ! — Sans problème, mon amour. Nous nous levâmes et je fis un baiser dans le cou de ma tante ; elle en frissonna de plaisir. Ma tante était un peu fatiguée. Il était 21 heures, aussi je lui proposai de faire la cuisine. Nous dînâmes dans la salle à manger, en tête-à-tête. Ma tante ayant repris ses esprits, elle me regarda avec un air un peu gêné, gênée de s’être autant défoulée, autant lâchée avec moi. — Tatie, ce que tu m’as fait a été merveilleux ; je reste sans voix... — Oui, je l’avoue, je n’ai jamais été aussi loin avec un homme : tu me fais faire des choses ! — Bah tu sais, j’ai comme l’impression que tu as pris ton pied toi aussi ! En guise de réponse, elle me fit un de ses sourires coquins, dont elle seule avait le secret. — C’était très bon ce que tu as cuisiné, mon chéri. Je suis fatiguée ; on va se coucher ? — Je débarrasse, Tatie, et je te rejoins. — Non, je vais t’aider. Nous rangeâmes la cuisine puis éteignîmes le bas pour monter dans la chambre. Je fis un brin de toilette, ma tante se coiffa ...
    ... les cheveux ; je vis qu’elle était fatiguée et que nous allions passer une bonne nuit de sommeil. Ma tante vint me rejoindre dans le lit ; elle prit soin d’ôter sa nuisette et vint se coller nue contre moi. Nous bavardâmes en nous regardant, tout en échangeant de longs baisers agrémentés de caresses mutuelles. Je la câlinais à mon gré, effleurant sa peau douce. — Jean, tu es vraiment un expert en caresses ; tu ne peux pas savoir comme ça m’apaise. — Avec toi, c’est un régal, Chantal. Puis nous éteignîmes la lumière et je sentis le souffle chaud de ma tante bien-aimée. Quelle ne fut pas ma surprise lorsque je sentis les doigts fins de ma tante qui, sous le drap, s’emparaient de mon sexe, mou pour la circonstance. Elle reprit ce qu’elle avait commencé auparavant, et visiblement, elle n’était guère rassasiée. — Dis donc, Tatie, t’es une gourmande ! — Tu as pu constater que j’étais au régime depuis un certain temps... — Oui, mais quelle santé, ma tante ! — Je profite de mon neveu adoré... — T’es une vraie couguar ! Chantal se mit à éclater de rire. — Tu es un jeune mâle bien vigoureux ; il faut bien que ta tante soit à la hauteur de ton appétit sexuel ! — Alors viens sur moi... Ma tante s’approcha et vint se mettre sur moi. La lampe de chevet étant allumée, je me fis une joie d’enlever le drap qui nous recouvrait. Ainsi, je pus admirer ma tante, tête relevée, me souriant avec des yeux malicieux. Je me plus à lui caresser ses épaules charmantes tandis que Chantal se mettait à ...
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