Mes cousines Muriel et Sophie, et leur maman Geneviève (3) - Histoires de Sexe

Mes cousines Muriel et Sophie, et leur maman Geneviève (3)

... cousines qui venaient d’arriver se sont chargées de me coiffer et de me manucurer. Le résultat était bluffant, et comme disait Geneviève j’allais être bandante. — Je ne serais pas étonnée que les jeunes garçons se retournent sur toi ma chérie. — Pour la finition, plutôt que de porter une culotte propre, je vais te donner la mienne qui à deux jours et qui sent bon ma femme. — Qui sait, peut-être qu’un ou plusieurs garçons vont t’emmener dans un champ pour que tu leur fasses du bien. — Tu sais ça leur arrive à tes cousines, de faire une petite pipe à des jeunes du village. Déjà que le fait de sortir en femme ne me réjouissait pas, Geneviève me rajoutait par-dessus le risque de me retrouver à faire ma première fellation. C’est bête à dire, mais même si ce programme me faisait froid dans le dos, il me filait la gaule. Après avoir enfilé mes escarpins vernis, il n’y a pas à dire je ressemblais à mes cousines, Geneviève avait trois filles désormais. En une journée je venais de devenir une fille et une fois dans la rue, je peux vous garantir que je trouvais ça très agréable de sentir les tissus se frotter les uns aux autres sur mon corps. Le nylon, le lycra, la viscose, toutes ces matières me faisaient un effet que je n’aurais jamais imaginé auparavant. C’est vrai que j’allais de temps à autre emprunter une culotte à ma mère, ces dernières étaient toujours douces mais surtout odorantes et goûteuses. Moi qui étais de plus en plus sensible aux odeurs intimes féminines, voilà que je ...

... sentais la femme négligée. Nous étions maintenant dans la rue toutes les quatre et j’avais la hantise que l’on voie mon érection à travers mes vêtements. Moi qui jusqu’à maintenant avais l’habitude de mater les jolies filles, je surveillais maintenant les hommes qui allaient poser le regard sur moi. Ce n’était pas le plaisir de leur plaire, mais j’étais surtout curieux de voir qui allait le faire. Effectivement de nombreux garçons ont posé le regard sur nous mais je n’ai pas l’impression que c’était sur moi particulièrement, compte tenu du fait que mes deux cousines étaient de loin les plus belles. Je n’avais pas beaucoup d’argent pour faire la brocante et ma tante m’a donné vingt euros pour que je ne sois pas ridicule et surtout que je puisse craquer pour quelque chose. Arrivé sur un stand, je suis tombé sur des stylos de marque rotring dont j’adore la ligne. Quand la propriétaire a vu combien j’étais intéressé par ces deux stylos, cette bourgeoise d’une soixantaine d’années m’a invité à rentrer chez elle pour que nous cherchions la suite car elle m’avait dit en avoir beaucoup d’autres. J’étais assez content car elle n’avait rien vu de mon subterfuge vestimentaire. Nous sommes montés à l’étage et sommes arrivés dans sa chambre où elle a ouvert un secrétaire. Là je suis resté ébloui par la quantité de stylos de toutes les couleurs, avec toutes les options, j’étais émerveillé. J’étais tout ému de voir le choix de stylos qu’elle avait et elle m’a justifié ce dernier par le fait ...