1. Mes cousines Muriel et Sophie, et leur maman Geneviève (3)


    Datte: 03/09/2020, Catégories: Transexuels

    ... collectionneuse de stylos étaient désormais en train de me caresser le dos à travers mes douces textures. À l’entendre soupirer et pousser de petits cris, il n’y avait pas de doute, mes coups de langue lui donnaient beaucoup de plaisir. Dehors nous entendions le brouhaha des badauds dans la rue, qui cherchaient la bonne affaire, cela compensait avec le silence de cette chambre où je ne pouvais qu’entendre le froissement des tissus. Les cris de plaisir d’Hélène devenaient de plus en plus audibles pour ne pas dire stridents, j’étais assez fier de moi de pouvoir ainsi donner du plaisir à une inconnue. — Que t’arrive-t-il ma chérie, pourquoi tu cries ainsi ? — Où es-tu ma belle ? J’étais en train de faire un cunnilingus à une inconnue, alors que j’étais totalement travesti, et son mari était en train d’arriver. Je suis là Claude, dans la chambre. J’étais totalement grillé, mais cela n’avait pas l’air de déranger Hélène. À ma grande honte, c’était plus fort que moi, mais je continuais à me délecter de ses saveurs intimes tout en lui donnant du plaisir. — Super, tu as trouvé une petite salope qui te fait du bien. J’étais assez stupéfait que cela ne dérange pas plus que ça le mari, que de me surprendre en train de brouter le minou de sa femme. — Tu as raison mon chéri, j’ai trouvé une salope, mais bien plus que tu ne l’imagines. La voix du mari était maintenant dans la chambre, mais il ne pouvait voir qu’une femme en train de faire du bien à une autre femme. — J’ai trouvé une ...
    ... jeune petite fiotte travestie qui est vraiment gourmande de cyprine. — J’ai réussi à l’attirer avec ma collection de rotrings. Hélène a cessé de parler pour se mettre à crier de plaisir, je venais de faire jouir une sexagénaire sous les yeux de son mari, je peux vous garantir que toute la rue était au courant. Les mains d’Hélène qui me tenaient par la taille m’ont rapidement lâché, sans aucun doute ce sont celles de son mari qui ont pris le relais. Claude m’a sorti de sous la douce robe de sa femme et c’est à genoux devant lui que je me suis retrouvé. Il avait le même âge que sa femme, mais surtout c’était un grand et très bel homme, j’étais vraiment en position d’infériorité face à lui. De longues minutes durant, nous nous sommes regardés, avant qu’il ne vienne me caresser les cheveux. Ces quelques moments à nous observer ont permis à Hélène de reprendre ses esprits, elle s’est relevée et elle est venue se mettre à côté de son mari pour l’embrasser amoureusement. Après ce long baiser gourmand, Hélène s’est chargée de libérer le sexe de son mari en lui faisant littéralement tomber son pantalon. Moi qui étais toujours à genoux, j’étais en train de réaliser que ce dard allait se retrouver à la hauteur de ma bouche. Quand son sexe s’est retrouvé libéré de son boxer en lycra, j’ai pu constater qu’il était de très belle taille mais surtout désireux et odorant. Je n’ai pas eu besoin de me tourner vers Claude, c’est sa femme qui l’a aidé à bien se positionner face à moi. On n’avait pas ...
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