Mes cousines Muriel et Sophie, et leur maman Geneviève (3)
Datte: 03/09/2020,
Catégories:
Transexuels
... qu’elle a travaillé dans la société qui les fabriquait. J’aurais voulu lui acheter le tout mais j’étais conscient qu’avec la somme à ma disposition, je n’aurais jamais les moyens de tout acheter. Je lui ai quand même demandé combien elle les vendait à l’unité, à partir de combien elle faisait un prix sur la quantité. — Vous savez mademoiselle, quand je vois votre pomme d’Adam, j’ai un doute sur votre féminité. — J’ai l’impression que vous êtes une superbe travestie. Sa réponse à ma question me mettait vraiment très mal à l’aise, que pouvais-je répondre à cela. C’est dans sa magnifique robe longue fluide, qu’elle m’a pris par la main pour aller s’asseoir sur son lit. Au moment où moi aussi j’allais m’asseoir sur son lit, elle m’a invité à venir m’agenouiller entre ses jambes. Les propos qu’elle venait de me tenir, lui avait fait prendre un ascendant psychologique sur moi. Voilà comment je me suis exécuté sans chercher à rouspéter, bien que très douce avec moi, elle savait se faire écouter. J’étais conscient de ce que j’allais me préparer à faire à cette sexagénaire dans la tenue qui était la mienne. La texture de sa longue robe me donnait grande envie de la toucher, les matières douces ne me laissaient pas du tout indifférent. J’ai donc posé mes mains sur ses cuisses recouvertes de viscose, avant de poser genoux à terre. — Maintenant tu vas brouter la minette de maîtresse Hélène. — J’aime bien les petites salopes dans ton genre, j’aime les dresser et les soumettre. C’est ...
... sur ces mots qu’Hélène a saisi ma tête pour l’engouffrer sous sa douce robe. Je ne faisais que subir, je m’exécutais comme elle disait, elle me soumettait à sa volonté. À ma grande surprise, cette sexagénaire ne portait pas de culotte, je peux vous garantir que cela sentait bon la femme là-dessous. C’était la quatrième fois que j’allais brouter un minou, mais la première fois celui d’une inconnue. La lumière de la chambre était déjà très tamisée, alors je ne vous raconte pas l’obscurité sous cette douce robe, j’étais pour ainsi dire en nocturne. Avant de rentrer en contact avec son minou, j’essayais de humer au maximum cette odeur féminine intime. Quand je suis entré en contact avec ses nombreux poils pubiens, j’en ai conclu qu’elle n’aimait pas se raser la moule et que dans quelques instants j’allais arriver à son petit abricot. Je suis quand même resté quelques minutes avant de poser ma langue sur ses poils goûteux et odorants. Quand j’ai progressé de quelques millimètres, je suis enfin entré en contact avec sa chair, à entendre la propriétaire soupirer, j’en ai conclu qu’elle était très sensible. C’est mon nez qui a touché son corps en premier, mais ma langue est alors entrée en activité. Découvrir oh combien mon appendice buccal pouvait donner du plaisir à une inconnue, me faisait pousser des ailes. J’ai pris confiance et maintenant je partais à la découverte de son entrejambe et de ses sensibilités, Hélène n’avait plus besoin de me tenir la tête. Les mains de notre ...