Mes cousines Muriel et Sophie, et leur maman Geneviève (3) - Histoires de Sexe

Mes cousines Muriel et Sophie, et leur maman Geneviève (3)

... besoin de me faire un dessin, je savais ce qu’il me restait à faire maintenant. Vu que j’étais un peu long à la réaction Hélène m’a saisi la tête pour m’approcher du sexe de son mari. La femme a saisi le sexe de son homme pour le caresser tout en l’approchant de ma bouche. Je ne sais pas si je l’observais où je n’envisageais, mais son sexe ne quittait pas mon champ de vision. Maintenant Hélène tenait le sexe son mari d’une main pendant qu’elle me caressait le visage et les cheveux de l’autre. Tout naturellement et à ma grande surprise, mes mains sont venues s’agripper aux cuisses velues et musclées de mon futur partenaire. — Allez ma chérie, je suis sûre que tu n’attends que ça. — Prends le sexe de mon mari en bouche et donne-lui autant de plaisir que tu m’en as donné. C’est sur ces encouragements que le prépuce de Claude est venu caresser mes lèvres quelques minutes, avant de s’introduire dans ma bouche. Pour la première fois de ma vie, un sexe masculin franchissait les barrières de mes lèvres. J’ai pu en savourer l’odeur quelques instants pendant qu’il me caressait les lèvres, avant d’en découvrir le goût maintenant. J’ai eu le droit à un long temps mort pour découvrir la texture et la saveur d’un sexe dans ma bouche. C’était Hélène qui me tenait la tête afin de veiller à ce que ma bouche reste pleine du sexe de son mari. La femme que j’étais devenue regardait Claude dans les yeux, et je m’apprêtais à remplir un acte bien féminin. Au bout de quelques minutes accordées à ...

... la découverte, Hélène a décidé qu’il fallait que je me mette à pomper le dard de son mari. Au début c’est Claude qui a commencé à donner des coups de reins dans ma bouche, comme s’il me baisait. Ce mouvement de va-et-vient n’était pas pour me déplaire, et c’est ainsi que j’ai commencé, moi aussi, à donner le rythme. C’est moi qui maintenant réglais l’entrée et la sortie du sexe de Claude dans ma bouche, je peux vous garantir que je ne me privais pas de savourer son pieu. Pendant que Claude me faisait maintenant des gorges profondes, je réalisais que j’étais décidément une véritable salope, Geneviève avait vraiment eu le coup d’œil à mon égard. Maintenant je mettais tout mon cœur à essayer de donner du plaisir au mari de ma maîtresse d’un jour. Rapidement, lui aussi s’est mis à soupirer très fort, il n’y a pas à dire j’étais aussi efficace avec Madame qu’avec Monsieur. À ce rythme-là, au bout de mes trois mois de vacances passés avec Tata Geneviève, je serai bonne à faire le trottoir à Paris. Bien évidemment ce n’était pas mon projet, mais je pense que je n’aurais pas grand-chose à envier aux professionnelles du secteur, au niveau efficacité. — Ma chérie, ta découverte est vraiment formidable. — Je suis persuadé que c’est la première fois qu’il taille une pipe, mais on a l’impression qu’il a fait ça toute sa vie. Il fallait que je me dépêche de découvrir l’anatomie d’un sexe masculin dans ma bouche, car j’étais conscient qu’il allait bientôt s’y vider. Vu que c’est moi qui ...