Lucie, mon amour - Histoires de Sexe

Lucie, mon amour

... titiller.Chaude, humide de son excitation, je savais qu’elle n’était plus vierge. Quand elle avait eu seize ans, sa mère était tombée par hasard sur un préservatif en voulant lui faire une lessive. Soulagés qu’elle prenne ses responsabilités, nous nous étions, néanmoins, offerts une cuite monumentale. Notre petite Lucie n’était plus un bébé.Je n’eu donc aucuns scrupules à lui mettre un doigt, puis deux. Aux mouvements de ses hanches, je voyais bien que Lucie aussi, n’avait pas de remords à se faire doigter par son parrain…Je voulais que ce moment dure le plus longtemps possible. Pour se faire, je lui demandais de temps à autres d’arrêter de me branler en lui bloquant la main. Elle, au contraire, appuyait sur la mienne pour que je la pénètre aussi loin que je le pouvais.J’aurais voulu qu’elle me taille une pipe mais rien dans son attitude ne suggérait que ça soit possible. Il n’empêche que le fantasme de la voir me sucer, ne serait-ce que mes doigts, me fascinait mais, tacitement, elle refusa en écartant son visage de ma main qui la faisait jouir.Je n’insistais pas et recommença à explorer la tendresse de son petit vagin.« Nature fait loi », mon éjaculation nous souilla tout les deux. La main couverte de sperme, Lucie s’essuya sur mon tee-shirt en restant collé à moi. La mienne toujours dans sa culotte, partir maintenant aurait été pire, je crois. Il fallait qu’elle aussi aille jusqu’au bout.Pour se faire, Je la pénétrais maintenant, de trois doigts. J’avais envie de la faire ...

... crier de jouissance. Aux spasmes qui secouaient son bassin, je sentais qu’elle n’en était pas loin.Perdue dan son plaisir, elle poussait des petits râles en chuchotant « c’est bon, c’est bon.. ». Enfin, elle jouie. Agrippant mes cheveux, elle me roula une dernière pelle en me pétrissant les fesses, ses hanches bougeant en cadence de mes efforts. C’est sa langue entourée de la mienne qu’elle hurla son bonheur de se faire prendre.Un profond silence, baignait la pièce. Lentement, nous nous rhabillâmes.- Je.. Ça te dérange si je te laisse terminer ? Je voudrais aller me coucher.- Non, bien sûr, vas-y...- Ok, bonne nuit..- Bonne nuit, ma chérie...L’entendant prendre une douche, je sortis sur le balcon, fumer une dernière cigarette.Nous avions bu, elle est majeure. Seule la grande différence d’âge pourrait paraître limite. Mais, inutile de se mentir, la culpabilité me rongeait. Elle a beau avoir l’âge requis, elle est, avant tout, la fille de mon meilleur ami et ma filleule. Plantant là, le ménage, je partis me coucher sur ces noires pensées.La journée du lendemain fut comme si rien ne s’était passé. Son père nous avait rejoints pour qu’on visite le zoo de Vincennes et Lucie se comportait le plus naturellement du monde.J’aurais voulu avoir son aplomb mais les images de sa petite langue tendue vers moi, la douceur de son cul sur mes mains me hantaient. Serge voyait bien que quelque chose me tracassait mais, exprimant des ennuis de boulot, il finit par se rassurer. Nous en restâmes ...