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Natasha & Franck (5)
Datte: 04/09/2020, Catégories: Transexuels
... tombe enceinte. Et puis je trouverais bizarre que mon enfant ait le même père que mon plus jeune frère… ou sœur. D’ailleurs, tu le sauras quand, si c’est un garçon ou une fille ? -Dans deux semaines. » Françoise quitta son pull. Elle portait une robe de grossesse en jean qui mettait en évidence sa poitrine. Ses seins étaient devenus énormes. « hey tu pourrais arrêter de reluquer les nibards de ma mère ! -Ils sont…. fascinants ! -C’est toi le père, viens, tu as bien le droit de les toucher.» Je n’avais jamais eu ce fantasme de la femme enceinte, mais à regarder cette poitrine gonflée, j’avais soudainement envie de la prendre, de la caresser. Ca n’avait plus rien à voir avec les week-ends débridés du mois d’août. Mais c’était aussi excitant. Françoise se retrouva très vite nue et avec une bouche sur chaque sein. A chaque coup de langue sur les tétons, Françoise se soulevait de plusieurs centimètres tant ils étaient devenus sensibles. Ses gémissements étaient au diapason de ses seins. Bien plus puissants. Les voisins ne pouvaient qu’entendre. D’autant plus que nous restions scotchés sur cette poitrine, comme des moules sur leur rocher. Je passais sur le ventre une main qui finit par arriver sur le sexe humide de Françoise. Marie me demanda de m’allonger sur le dos. Je me déshabillais et me plaçais sur le lit. Elle allait chercher quelque chose dans un placard. Sa mère se mit entre mes jambes et se baissa pour me masturber entre ses seins. Marie revint avec le cadeau de noël ...
... pour sa mère. Un long gode double qui leur permettrait de se pénétrer mutuellement. Elle se glissa derrière sa mère, versa un peu de lubrifiant sur le gland du gode et le fit entrer dans son vagin puis l’autre extrémité dans le cul de sa mère. Ce fut un concert de gémissements, de cris et de halètements. J’éjaculais sur les seins de Françoise qui se redressa pour faire entrer le gode plus profondément. Marie agrippa sa mère par les seins et la plaqua contre elle. Je me mis debout à coté d’elles et leur présentait alternativement ma bite devant la bouche. Dès que j’eus repris un peu de vigueur, je m’installais face à Françoise qui s’empalait sur mon sexe. Prise en sandwich, je crus un moment qu’elle allait lézarder les murs avec ses grognements de jouissance. J’éjaculais en elle, sa fille vint lui lécher la chatte pour y boire sa cyprine et mon sperme mélangés. Je me retrouvais donc derrière Françoise, m’engouffrait dans son cul et lui pelotait les nibards. Quel pied ! Lorsque je me sentis prêt à jouir, je déculais et envoyais tout ce qui me restait de foutre sur le visage de Marie. Sa mère vint aspirer tout ce qu’elle pouvait et en recrachait une partie dans la bouche de Marie, puis elles se roulèrent des pelles gluantes. Tout le week-end fut du même acabit. Le dimanche soir, alors que nous nous disions au revoir sur le pas de la porte, le voisin de palier arrivait et écarquillait les yeux quand Françoise, en guise d’au-revoir, dit en exposant son ventre arrondi : « Prends bien ...