1. Natasha & Franck (5)


    Datte: 04/09/2020, Catégories: Transexuels

    ... mains sous le t-shirt de sa mère. Je la regardais faire et pensait qu’elle se désolait de sa poitrine plus menue. Elle avait pourtant de très beaux seins, certes pas aussi opulents que ceux de sa mère, mais tout aussi agréables à sucer ou peloter. Personnellement je n’avais aucun dogme sur le sujet : petits ou gros, l’essentiel était qu’on ait envie de s’en occuper. Et dieu sait si les seins de Marie et de Françoise donnaient envie de le faire ! Elles étaient assises face à face sur le banc. Elles quittaient leur longs t-shirts. Elles se retrouvaient entièrement nues. Je me plaçais derrière Marie. J’avais déjà une belle érection. Je crachais sur mes doigts et lubrifiais le cul de Marie. Je l’attrapais par les hanches et me glissais en elle. Automatiquement, elle se cambrait pour que j’aille le plus profond possible. J’agrippais sa poitrine à pleines mains, comme pour lui signifier que leur taille était bien suffisante pour un honnête homme. Françoise se mis dans l’autre sens. Le dos collé à sa fille, elle vivait une véritable révélation. Le simple contact des seins contre son dos l’excitait plus qu’elle ne l’avait imaginé. Elle glissa une main vers le clitoris de Marie qui, elle, portait une main sur un des seins de sa mère tandis que je pétrissais l’autre. Et notre main libre s’en allait s’occuper de la vulve de Françoise. Ce jeu à quatre mains eu vite fait de l’envoyer au septième ciel et elle se retrouvait rapidement en orbite. Elle laissait aller sa tête en arrière, ...
    ... s’abandonnait sur l’épaule de sa fille. Françoise atteignit l’orgasme en premier, suivit de près par Marie qui déclenchait ainsi le mien. La mère vint avaler le sperme sur ma verge et surtout lui redonnait un peu de vigueur dont elle avait bien l’intention de bénéficier. Elle s’empalait sur ma verge, face à moi, enserrant ma taille de ses jambes. Marie appuyait ses seins sur le dos de sa mère et lui pelotait les deux globes et jouait avec les tétons. Puis elle descendit une main vers le clitoris. Après plusieurs minutes de ce traitement très humain je sentais arriver les premiers signes d’une nouvelle éjaculation. Françoise était sur le point de jouir elle aussi. Je me vidais en elle et elle m‘embrassait, sa langue cherchait à s’enrouler autour de la mienne, je lui caressais les fesses et les cuisses. « Bien les amoureux ! Quand vous voudrez bien vous décoller, il faudra aller promener Benjik. On n’a pas pensé à lui et il est resté attaché depuis hier, intervint Marie. Tu as raison, nous nous sommes conduits comme des chiennes mais nous l’avons oublié. Honte à nous. Allons enfiler quelque chose et allons le promener. » Marie était partie détacher le chien pour qu’il puisse déjà se défouler. Françoise ne l’avait pas vue se diriger vers la niche tout de suite. « Attends, va prendre…… -Oh Oooohh……. me contentais-je de prononcer. » Trop tard ! Le berger allemand avait collé sa langue sur la fente de Marie qui sentait le foutre et la cyprine. Elle restait figée, le souffle coupé. Elle ...
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