LE MARI EXIGEANT– Dévergondages 17
Datte: 05/09/2020,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... elle ne demande que ça ! » Odile, bien qu’elle éprouve un profond dégoût pour l’ignominie dans laquelle son époux la pousse inexorablement, sent que ses sens sont excités par cette situation singulière. La cyprine humidifie sa fente vulvaire et, lorsque le jeune homme touche timidement les chairs enflammées, elle laisse échapper un gémissement, soufflant un « continue » à peine audible au garçon. Celui-ci plonge ses doigts dans la conque béante, alors que Michel donne l’ordre à sa femme de se saisir de la verge du jeune serveur. Celle-ci, dans un état second, dégrafe le pantalon et en extrait un mandrin d’une belle taille. Odile branle la tige, retroussant le prépuce pour faire sortir un gland congestionné d’un beau rouge sombre. « Suce-le » lui intime son mari. Odile devient rouge comme une écrevisse, mais elle se penche sur le vit du garçon, ouvre la bouche et absorbe le gland. Surexcité depuis le début du repas, il tressaute bientôt entre les lèvres féminines et lâche un flot de foutre que la malheureuse a bien du mal à avaler. La sève du jeune homme déborde des lèvres pour couler sur le menton et dans le cou, dégoulinant même entre les seins au travers l’ouverture du corsage. Le garçon se rajuste rapidement et s’en va sans demander son reste. Odile se rend aux toilettes pour se nettoyer et remettre de l’ordre dans sa tenue. Michel règle la note à la patronne du restaurant et le couple quitte bientôt le site de ses exploits. De retour à l’hôtel Michel a une idée ...
... diabolique, pour mettre à l’épreuve son épouse sans qu’elle s’en doute. Pourtant, pour la première fois, il ne veut pas qu’elle subisse un affront qu’elle ne pourrait supporter. Il demande à Odile de revêtir sa nuisette, mais de rester nue en dessous, puis il lui propose de lui mettre un foulard sur les yeux pour que ses sensations soient décuplées. Enfin lui dit-il pour jouer, il lui demande de s’allonger sur le lit, et lui attache délicatement les poignets et les chevilles aux montants verticaux du baldaquin attenant à leur lit avec des cordelettes sorties de sa valise. Odile, bien qu’un peu inquiète, mais amusée que son mari se décide à agrémenter leur partie de jambes en l’air s’est laissé faire. Michel lui dit qu’il a oublié de commander du Champagne et, ne voulant pas que la serveuse la voie dans cette position, il descend lui-même le chercher. Il referme la porte derrière lui, ne laissant pas sortir de la bouche de sa femme, la protestation qu’elle s’apprêtait à émettre. Pourtant, à peine une minute plus tard, elle entend la porte s’ouvrir et se refermer aussitôt. Devant le silence que ne trouble aucune parole ni aucun bruit, Odile s’affole. « Michel ? C’est toi ? Réponds-moi ? Il y a quelqu’un ? Oh ! Mon Dieu, Michel arrête de me faire peur… » La voix d’Odile est de plus en plus angoissée. Si quelqu’un est dans la pièce que va-t-il lui arriver ? Il va la violer ? Avec l’assentiment de son mari qui l’a envoyé ? Ce ne peut être que lui qui veut la faire prendre par un autre ...