1. LE MARI EXIGEANT– Dévergondages 17


    Datte: 05/09/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... homme, comme il le lui a laissé entendre tout à l’heure au restaurant. Tout à coup, elle sent un corps qui s’assoit sur le lit. « Michel, dis-moi que c’est toi, je t’en supplie ! Ne me laisse pas me faire violer ! Monsieur, je ne veux pas, allez-vous en, ne me touchez pas Nonnnnnnn ! » À ce moment, elle sent une main qui retrousse sa nuisette déjà très courte jusque sous ses seins. La main frôle son ventre, le masse légèrement et se pose sur son pubis, raclant de ses ongles les poils de sa toison. Odile est tétanisée, se sentant impuissante, attachée au lit, bras et jambes écartés, proie offerte à qui voudra bien la prendre. Elle ne peut douter que ce soit avec l’accord de Michel, que l’homme s’est introduit dans la chambre et qu’il s’apprête de toute évidence à la baiser. Les doigts viennent titiller le clitoris, repoussant le capuchon pour effleurer le bourgeon qui déjà pointe en avant, réclamant la caresse bienfaisante. Soudain, deux doigts s’infiltrent dans la vulve et plongent à l’intérieur du vagin. Odile ne peut s’empêcher de pousser un bref gémissement. Un troisième doigt rejoint les deux autres, s’agitant régulièrement dans la moule suintante, se concentrant sur la paroi interne, là où une petite surface spongieuse fait bondir dans ses liens la belle mature. Les doigts s’agitent furieusement dans les chairs vaginales, arrachant bientôt des feulements à la femme qui jouit, crie et hurle son bonheur. Elle ne peut se retenir alors qu’elle ne sait même pas qui est ...
    ... l’homme qui la masturbe aussi bien. À part Edmond, jamais elle n’a été doigtée ainsi, ce ne peut donc être son mari. Elle entend des froissements de tissu et comprend que l’homme se déshabille. Il ne va pas tarder à la pénétrer. Elle sent la cyprine qui dégouline entre ses cuisses, elle a bien senti, comme la première fois avec Edmond, l’éjection de la femme fontaine qu’elle est devenue, surtout lorsqu’elle est doigtée. L’homme a dû en avoir plein la main, mais il n’a rien dit. Soudain, elle sent deux mains sur ses cuisses et un pénis, encapuchonné de son manteau en latex qui se glisse entre ses grandes lèvres béantes. Elle est certaine à présent que ce n’est pas son mari qui lui fait une farce. La verge qui la pénètre est plus grosse et plus longue. Après tout, puisqu’il le veut, autant qu’elle y prenne du plaisir. Elle accompagne donc son baiseur en y mettant tout son cœur, mais aussi son corps, projetant son bassin au-devant de la queue qui la pilonne, grognant, gémissant jusqu’à beugler sa jouissance devant l’acte impur dans lequel elle se délecte. Lorsque l’homme s’étend sur elle, épuisé, elle croît reconnaître l’odeur de son homme. Lorsqu’il lui enlève son bandeau, elle le traite de salaud. Michel, la verge toujours engagée dans le pertuis de sa femme, l’embrasse amoureusement, riant de son stratagème. Se promettant intérieurement que, la prochaine fois, ce soit un inconnu qui la baise devant lui. « Tu as bien joui ma petite salope de l’inconnu qui te baisait. D’ailleurs, tu ...
«12...4567»