LE PAPILLON (4)
Datte: 05/09/2020,
Catégories:
Hétéro
... cheveux tombant sur mes épaules, lisses et noirs profonds. Mes yeux sont noisettes mais mon regard est intense, comme ceux d’une chatte. Je dégrafe mon soutiens gorge et change également de dessous. J’opte pour un ensemble rose pâle en dentelle. Cette fois ci le bas est un string, et la ficelle épouse mon cul avec délicatesse. Je me trouve sexy, extrêmes désirable. La sensation du tissu sur ma fente titille mes sens, mon excitation revient à la charge… mais pas de temps à perdre, je ne peux me mettre en retard une seconde fois. J’enfile un jean bleu délavé et une chemise rouge en satin que je laisse entrouverte sur le dessus, pas trop mais bien assez pour apercevoir le sillon de mes seins. Je choisis une paire de botte noire avec des talons de 10 cm. Le jean compresse mon petit cul et les botes le galbe me faisant des fesses de rêve. J’attrape à la volée une veste en cuir et me précipite vers l’extérieur. Il est déjà 19h et je devrais déjà y être. 15 minutes plus tard je gare ma voiture en me précipite le plus rapidement possible vers le lycée. Alors que j’accélère le pas, je sens mon talon se tordre légèrement et ma cheville le suivre dans un mouvement similaire. Je m’étale de tout mon long, mon sac volant devant moi et vidant son contenu sur deux mètres. Je lève la tête et aperçois un mocassin en cuir marron dans ma direction. Les pas se rapprochent et une main se tend vers moi, une belle main, de beaux ongles et des doigts longs et fins. Je la saisis alors qu’elle ...
... m’aide à me relever, elle est douce. Je remonte lentement de la main vers le haut, la manche d’un manteau en cachemire noir, remonte bien au-dessus de moi. Je dois lever la tête pour apercevoir le visage de mon sauveteur. Pendant une seconde je suis surprise, mis à part la mâchoire et les cheveux, cet homme ressemble étrangement au mien. Yeux bleu acier, cheveux bruns, même taille et même carrure. Un sourire se dessine sur sa bouche « Tout va bien » me demande t’il. « oui, oui parfait ,j’ai juste trébuché merci », je lâche sa main… (si douce, qu’elle est douce)…. …ramasse mon sac et son contenant et lui dis à nouveau merci alors que je m’éloigne en trottinant. Bien évidemment je suis en retard et bonne dernière, ce qui veut dire pas sortie avant 21h. A l’intérieur de moi je bouillonne mais rien n’y parait. Tous cela me semble interminable mais touche finalement à sa fin. Enfin, ma dernière prof vue, je peux rentrer chez moi dans l’espoir de me relaxer. Il fait nuit noire dehors et ma voiture est la dernière sur le parking. Je la déverrouille à distance et m’engouffre à l’intérieur. La clé enfoncée je la tourne pour démarrer. Rien ne se passe, je tente ma chance à nouveau, toujours rien. C’en est trop, mes mains s’abattent violement sur le volant. Les portes closes je hurle à moi-même ma frustration. Mes mains me brulent, elles sont rouges. Soudain on toque à la vitre, c’est l’homme qui m’a relevé. Je l’observe et le découvre pour la seconde fois. Il est beau, ses yeux semblent ...