Travaux Routiers - Derniers couplets
Datte: 06/09/2020,
Catégories:
fh,
fbi,
extracon,
grossexe,
campagne,
Collègues / Travail
pénétratio,
pastiche,
humour,
... du chef-lieu de canton, finies les caresses écœurantes d’Antoine, qui profitait lâchement de son poste de chef d’équipe. Louis s’apprête bien à en faire autant mais, se justifie-t-elle, elle y gagne au change sur tous les tableaux : l’emploi, la position sociale et… la grosseur de queue !— Qu’est-ce qu’il va dire, Antoine, quand il me verra pas ce soir ?— Antoine, on s’en fout !Sur cette parole définitive, il l’entraîne vers la soupente où le chef d’équipe la confine lorsqu’il en a assez de la baiser. Pendant qu’elle rassemble ses hardes, il tente de l’enlacer et de la basculer sur la paillasse. Elle le repousse.— Voyons, Tonton ! T’as pas honte ? Avec ta nièce !— Euh… c’est seulement pour la galerie, et ici…— Tst ! Tst ! Tst ! Tu es et tu restes mon oncle jusqu’à ce que les portes de NOTRE appartement soient fermées !— T’es dure avec moi !— C’est ça ! Plains-toi par-dessus le marché !Ils vont chez Louis prendre son sac et retournent au bureau des cantonniers attendre l’automobile. Celle-ci n’est pas longue. Hubert charge les sacs dans la malle, Louis rejoint Marie-Amélie et Lisette monte à côté du conducteur. Ils passent à proximité du petit bois.— N’est-ce pas ici, Louis, que nous nous sommes rencontrés ?— Si, si ! Ça me fait penser que j’y ai oublié ma bouteille dans le ruisseau, et ma musette.— Ce serait dommage de les perdre. Hubert, voulez-vous vous arrêter ? Mademoiselle Lisette vous conduira au ruisseau.— Bien, Madame.La voiture immobilisée, Marie-Amélie fait signe ...
... au chauffeur de s’approcher de la vitre.— Si vous ne trouvez pas la bouteille tout de suite, ce n’est pas grave, vous me comprenez ?— Parfaitement. Mais si mademoiselle Lisette insiste pour revenir ?— Vous avez le choix des moyens pour la retenir.— Ce sera fait comme Madame le désire.Le chauffeur entraîne la jeune fille. Marie-Amélie se retourne vers Louis.— Et si nous continuions la conversation que nous avions en début d’après-midi, avant de nous séparer ?… Baise-moi ! traduit-elle devant la mimique d’incompréhension de Louis.Il ne se le fait pas répéter.oooOOOoooLisette retrouve la bouteille. Elle est presque vide.— C’est pour ça qu’on s’est arrêté ? Ça valait pas la peine !Elle décroche la musette y place la bouteille et retourne vers l’automobile. Hubert la retient par le bras.— Asseyons-nous.— Ah ! Ta patronne et Lo… pardon… mon oncle… euh… n’ont pas besoin de nous ?— Tu as tout compris.— Bon, ben, asseyons-nous en attendant.Elle se baisse pour se relever immédiatement en regardant sa robe.— Tu as peur de la tacher n’est-ce pas ? C’est pour ça que tu l’avais quittée, hier après-midi.— Euh… oui. Tu comprends, j’ai que celle-là de bien, je ne voudrais pas l’abîmer. Ça te gêne pas ?— Pas du tout !— Aide-moi, s’il te plaît.Hubert s’empresse de dégrafer le dos. Lisette fait passer le vêtement par-dessus la tête et le suspend à la branche morte de la veille. Elle s’assied en ramenant avec les bras les genoux contre la poitrine.— T’es pas jaloux de la venue de Lou… mon oncle ?— ...