Quadrature
Datte: 06/09/2020,
Catégories:
fh,
extracon,
Oral
pénétratio,
... n’en demandais pas tant, mais pourquoi pas… Néanmoins, l’Europe m’aurait suffi…— Tu sais que dans ton genre, tu n’es pas mieux que Paul ? Je rétorque vivement : — Évite, s’il te plaît, ce genre de comparaison !— Là, tu es encore plus vexé !— Arrête de dire que je suis vexé !— Bon, bon, tu n’es pas vexé… juste froissé…— Tu es vraiment impossible ; ce n’est pas pour rien que Colette et toi êtes amies !— Toi aussi, évite, s’il te plaît, ce genre d’allusion !— Ah oui ? Toi, tu peux ; mais moi, je ne peux pas ? Elle serre ses doigts autour de ma main : — Écoute, on ne va pas s’engueuler à cause de nos infidèles, tu ne crois pas ? Je pose mon autre main sur ses doigts crispés : — Tu as raison…— Ça ne nous dit toujours pas ce qu’on décide de faire…— Tu as raison…— Tu te répètes !— Tu as tout à fait raison ! De sa main libre, elle me bouscule, en riant : — Crétin ! C’est alors que ma main quitte la sienne pour aller se poser sur son épaule et que, spontanément, je l’attire à moi en grondant : — Je vais te faire taire, moi !— Ah oui ? Et comment, Monsieur le crétin ?— Comme ceci ! Et je l’embrasse ! Je ne me rappelle plus très bien l’enchaînement des faits, mais ce qui est sûr dans cette histoire, c’est qu’Isabelle ne m’a pas opposé une farouche résistance et qu’elle m’a rendu plus d’une fois ce premier baiser ! Ce que je constate aussi, c’est que je suis actuellement torse nu et en caleçon, tandis qu’elle est en soutien-gorge et jupe assez relevée, qu’une de ses mains caresse ma ...
... poitrine, que l’autre s’égare sur ma cuisse, tandis que mes doigts câlinent le sillon de ses seins et que d’autres se sont glissés sous sa jupe, bien au chaud. Reprenant un peu ses esprits, Isabelle me regarde droit dans les yeux : — Séb, j’espère que tu fais ça parce que tu as vraiment envie de moi et non pas par… euh… vengeance !— Isa, j’espère aussi que tu fais ça plus par envie que par dépit…— Tu es un idiot !— Je sais, je sais… Et je l’embrasse à nouveau pour la faire taire. Elle ne s’y oppose absolument pas ! Mes mains caressent son dos dénudé tandis que nos lèvres se fondent les unes aux autres, nos langues s’entremêlent et une chaleur torride monte irrésistiblement en nous. J’adore son corps vibrant contre le mien, le contact soyeux et doux de sa peau, cette soif qui nous lie. Tandis que je quitte ses lèvres pour explorer son cou, ma main descend le long de sa chute de rein si cambrée. Arrivée à l’orée de sa petite culotte, elle marque une faible hésitation, puis elle outrepasse l’élastique pour plonger sous le tissu à la découverte d’une fesse frémissante et accueillante. Mes doigts avides capturent une bien belle rotondité, la caressant, la pétrissant, l’agrippant pour bien en éprouver les douces chairs. Isa se plaque encore plus contre moi ; elle ondule ostensiblement du bassin et du ventre contre la ferme bosse nichée sous mon caleçon, tige toute dure qui ne demande qu’à se révéler au grand jour. Sans aucune parole émise, ce message muet sera compris puisque, peu ...