Quadrature
Datte: 06/09/2020,
Catégories:
fh,
extracon,
Oral
pénétratio,
... après, Isa glisse ses doigts tout fins sur mon ventre, puis lentement ceux-ci s’acheminent plus bas. Puis sa main englobe mon sexe palpitant et commence vicieusement à jouer avec lui… Il n’y a pas à dire : c’est divinement bon qu’on s’occupe de vous ainsi, d’autant que ses doigts savent s’y faire ! J’ai alors une fugace pensée pour Paul qui est indubitablement un crétin d’avoir négligé une femme si… chaude… dirons-nous dans un accès de bienséance… Mais l’herbe est plus verte chez le voisin… surtout chez la voisine ! En parlant d’herbe, je décide d’aller voir si par-devant j’aurai droit ou pas à une petite ou grande touffe… Oui ? Non ? Je le saurai tantôt. Tandis que je recapture ses lèvres qu’elle m’offre sans retenue, ma main baladeuse glisse délicatement sous sa petite culotte pour aller découvrir ce qui peut bien se cacher là, si près de ma tige délicieusement titillée par des doigts experts… Durant ce temps, mon autre main est toujours plaquée dans le dos d’Isa, une Isabelle que je tiens fermement captive afin qu’elle ne m’échappe pas. Bien que j’aie la nette impression que ce n’est pas du tout son idée que de me fuir… Arrivés devant, le bout de mes doigts déniche quelques poils soyeux, pas très longs mais néanmoins fort doux. Visiblement – non, tactilement – Isabelle ne semble pas avoir cédé aux sirènes de la pilosité zéro. Ce qui n’est pas un mal ! Alors je commence à caresser délicatement cette mignonne petite touffe offerte, cherchant du bout des doigts à discerner ...
... son contour exact, sa forme secrète. C’est alors que nos lèvres se séparent et qu’elle dépose divers petits bisous dans mon cou, puis me murmure : — Pas trop déçu ?— Déçu !? De quoi ?— Je ne suis pas épilée…— Je préfère avec que sans… c’est nettement plus… euh… plus… Je ne trouve pas les mots ; alors, je recours à cette technique qui me va si bien : je l’embrasse à nouveau à pleine bouche. C’est absolument mieux ainsi ! Durant ce temps, mes doigts ne restent pas du tout inactifs ; ils ont déjà découvert l’entrée de sa fente. Je constate avec plaisir que celle-ci est déjà bien humide. J’en éprouve les bords, les plis, puis je remonte à la recherche d’un certain petit bouton. Celui-ci ne se fait pas prier pour l’accueillir à son tour, et c’est en alternant grande douceur, agaceries diverses et caresses appuyées que je m’occupe de celui-ci. Son visage à présent niché dans mon cou, Isa gémit, frémit, vibre, le corps parcouru de tressaillements. Parfois elle se tend, se cabre, mais ne fait absolument rien pour se dégager de ma main torturante ! Rien du tout ! Je dirais même qu’elle se presse encore plus contre elle ! Alors, j’en profite pour accentuer plus encore cette douce torture, m’activant au mieux pour qu’elle cède, pour que je puisse enfin entendre ses cris de plaisir ! Soudain, elle se cabre, reste figée ainsi, puis pousse un long gémissement assourdi. — Plonge tes doigts ! Je ne me fais pas prier : toujours obéir aux dames dans pareil cas ! À peine mes doigts entrés qu’elle ...