1. A la découverte d'un monde inconnu : le cahier d'histoires (3)


    Datte: 12/10/2017, Catégories: Partouze / Groupe

    ... rire. Elle manque de s’étouffer et recrache son chocolat dans le bol ; Alice éclate de rire. — Alors celle là, elle est trop bonne ! Oh, ma pauvre petite chérie, qu’est-ce qu’ils t’ont fait ? Manu, ce n’est pas bien de faire des choses comme ça à ma fille. Alice est visiblement ravie ; elle prend son bol, le débarrasse et part dans le garage. Julie se lève, me fonce dessus et me donne des coups de poings sur le torse en criant : — Salaud ! Salaud ! T’es dégueulasse ! Je la maîtrise sans peine (le sport me fait le plus grand bien) mais ce combat me fait avoir une trique d’enfer. Plaquée contre moi, elle la sent. — Et en plus ça te fait bander ! Elle cogne. Enfin, ce qu’elle peut. mvsmtteo — Tu ne fais pas le poids, ma chérie. Je l’attrape sous les fesses, la remonte en même temps que mon tee-shirt, et paf ! je me l’empale direct. Elle crie : — Non ! Ah ! Maman, maman, viens… — Débrouille-toi, ma fille, tu es grande. Je la bascule sur la table et la besogne avec force tandis que ses cris se transforment en gémissements de plaisir. —Maman… ah… Ah oui, oui, je vais… Ah… ouiiiiii ! Elle me fait un orgasme de folle. Visiblement calmée, je la lâche ; elle se relève en me lançant un regard noir. Alice revient ; j’ai juste le temps de recouvrir mon engin. Je bande encore, et même pire que tout à l’heure. — Oui t’es un salaud, j’t’aime plus. Je vais me doucher, na ! Elle commence à partir en me tirant la langue, telle une gamine. — Eh bien, Julie, après ce que je viens d’entendre, il ...
    ... n’est pas si salaud que cela. Regarde ; tu pourrais au moins terminer ce qui est commencé : tu ne va pas le laisser la queue en l’air ! — Tu n’as qu’à le faire toi-même ! — Ah bon ? OK. Allez, Manu, viens. Pas de réponse de la part de Julie qui monte l’escalier. Alice m’entraîne vers le garage. Mon tee-shirt vole dans la machine à laver, elle se plaque à moi. — Fais-moi la même chose ; puisqu’elle ne veut pas, moi si. Allez, vas-y, n’aie pas peur : il n’y a pas de risque. — Mais Julie ? — Ne t’inquiète pas, je m’en charge. Allez, vas-y ! De toute façon, c’est un ordre : sinon je vais être obligée de te renvoyer. Tu te rappelles ? « Tu dois faire… » — Je sais : « … tout ce que tu veux. » C’est si gentiment demandé… Je la prends sous les fesses – elle est à peine plus lourde que Julie – et la soulève ; elle passe ses jambes derrière ma taille, ses bras autour de mon cou, et vient s’enfoncer sur moi avec un « Ah ! » de plaisir. Je la couche sur le congélateur et m’actionne avec force ; je fais ressortir la bête qui sommeille en moi et lui arrache des râles de plaisir. Elle crie, se tord. « Tant que je peux tenir, je tiendrai ! » je me dis, et je pilonne. Je lui attrape les seins, les broie fort ; elle crie encore… Je lui pince les tétons ; visiblement, elle aime quand c’est fort. Je sens son orgasme : il est puissant ! Elle se tortille dans tous les sens ; je continue mes coups de boutoir, déplaçant le congélateur. Je suis en eau, je n’en peux plus. Je lui envoie une éjaculation ...
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