1. A la découverte d'un monde inconnu : le cahier d'histoires (3)


    Datte: 12/10/2017, Catégories: Partouze / Groupe

    La boulangerie, et comment assouvir deux femelles en chaleur Moi, c’est Manu ; je vais vous raconter l’histoire à peine croyable que j’ai vécue avec Julie et Alice, ou comment gérer deux tigresses avides de sexe. Tout cela trouve son origine dans le chapitre 10 de « À la découverte d’un monde inconnu », dans lequel j’ai perdu l’occasion de me taire et me trouve dans l’obligation d’aller chercher le pain du petit déjeuner. Ce matin, il pleut. Nous sommes tous levés, et je dois aller chercher le pain pour le petit déjeuner uniquement revêtu du vieux K-Way du grand-père de Julie (donc à poil dessous). Cette espèce d’imper arrive à dix centimètres sous les fesses ; il est moche, mais étanche. Je ne suis pas particulièrement pudique, et aux dires d’Alice, tous les garçons aiment bien se balader la bite à l’air. Mais de là à se balader dans la rue avec uniquement ce truc sur le dos, je fais beaucoup moins le fier. Je dois y aller sans qu’Alice ni Julie ne me le rappellent, sinon ce sera sans le K-Way, et là ce n’est plus drôle du tout ! Faisant contre mauvaise fortune bon cœur et armé de courage, je vais voir Alice. — Bonjour, Alice ; tu peux me donner des sous ? Je vais chercher le pain. — Bonjour, Manu. C’est gentil de m’éviter de me faire mouiller, j’apprécie, mais tu ne vas pas y aller tout nu, me répond-elle avec un sourire coquin. — Non, je vais mettre le K-Way de ton père. — Je vois que tu n’as pas oublié ; c’est bien. Elle me donne le porte-monnaie, et je commence à ...
    ... ouvrir la porte de communication avec le garage. Comme je me doute qu’il va se passer quelque chose, instinctivement je serre les fesses ; grand bien m’en prend : une magistrale claque atterrit sur mon postérieur, suivie d’un « Aïe, t’as le cul dur ! » sorti tout droit de la bouche d’Alice. Dans mon for intérieur, je jubile « Bien fait ! » Une fois dans le garage et content de moi, j’enfile le fameux K-Way. Il est grand : je suis certain que Julie pourrait rentrer avec moi dedans. Oui, ce serait pas mal… Elle devant et moi derrière : faudra que j’y pense. Je me regarde dans un bout de miroir qui traîne ; il me fait une minijupe. Je lève les bras. « Mouais, il y a kiki qui pointe le bout de son nez par en dessous. J’ai intérêt à faire gaffe ! » Dehors, il pleut ; et dans le Sud, quand il pleut, il pleut ! Je sens l’impact des gouttes qui claquent sur la toile du vêtement. J’ai mis des godasses en plastique, celles qu’on utilise pour travailler au jardin. Je ne dois pas avoir l’air con avec mes pompes, les guibolles à l’air et ce vieux truc ! Tant pis pour moi, j’assume ; et la prochaine fois, je la fermerai. Je parcours l’allée jusqu’à la rue qui mène au centre du village. Me voici dans la rue. Cinq ou six cents mètres à parcourir ; il n’y a personne : ça va aller. Je ne suis pas trop tranquille malgré tout, je parle tout seul. « Si je rencontre quelqu’un, je fais quoi ? Après tout, personne ne sait pas que je suis à poil dessous. Il faut juste ne pas lever les bras, c’est tout ; ...
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