A la découverte d'un monde inconnu : le cahier d'histoires (3)
Datte: 12/10/2017,
Catégories:
Partouze / Groupe
... Elle s’arrête net, attrape un pain au lait, enfonce son doigt à l’intérieur, me plante le sexe dedans tel un hot-dog et continue à me masturber ; évidemment, j’éjacule dedans. Une fois le petit pain garni, elle le retire en prenant bien soin de récupérer le précieux nectar puis y introduit une barre de chocolat pour refermer le trou. Elle le met dans un sachet, le glisse avec les autres et m’aide à tout mettre sous le K-Way en me disant avec un grand sourire et un regard complice : — Tiens, Manu ; celui-là, c’est pour Julie. Quand elle l’aura mangé, tu lui diras que c’est de la part de Marie : elle comprendra. Tout le monde sait qui est Marie : il s’agit de la jeune dame du magasin de vêtements. Elle ouvre la porte, regarde dehors et me fait signe que je peux y aller. — Au revoir, Manu. La prochaine fois, viens carrément à poil ; je te ferai visiter le fournil. D’accord ? Elle lève le K-Way et me met un magistrale claque sur le cul. Je n’ose pas me retourner ; j’ai un peu honte. Il pleut à verse. Je cours presque ; la pluie claque sur le vêtement pendant que d’une main dans la poche l’autre à l’extérieur je soutiens le sac : ce serait dommage de perdre ce qu’il y a dedans. En chemin, je revois la scène. Il n’y a personne dans la rue ; je file. J’arrive enfin à la maison. J’entre dans le garage, dépose mes courses sur un plateau, me sèche, puis j’ouvre la porte de communication ; je suis accueilli par des applaudissements. Fier comme Artaban, je dépose le plateau sur la ...
... table. — Alors, Manu, comment ça c’est passé ? Je prends le pain au lait fourré et le tends à Julie. — Tiens. Celui-là, c’est pour toi ; il est tout chaud. — Merci ! J’adore les pains au lait avec du chocolat. Alors, raconte. Tout en déjeunant, je raconte (j’évite l’histoire du pain au lait) je brode et traîne le temps que Julie termine son pain au lait. Je raconte le passage où une voiture fantôme s’arrête pour me proposer de m’emmener ; bref, histoire de les distraire. Julie a quasiment terminé son petit pain. — Il était bon, ton petit pain ? — Extra. Pourquoi ? Elle avale la dernière bouchée. — En fait, je ne t’ai pas dit : c’est de la part de Marie, la vendeuse de la boulangerie. — Marie ? Julie interroge sa mère du regard. — Oui, Marie. Tu la connais bien, je crois ; tu sais, celle qui t’a pelotée dans la cabine d’essayage. — Elle travaille à la boulangerie ? — Oui. Si tu allais chercher le pain un peu plus souvent, tu saurais que c’est là qu’elle travaille, répond Alice. — Bon, c’est bien. Et alors ? demande-t-elle d’un ton un peu agacé. — Il était bon, le pain au lait et chocolat ? — Oui. Elle a mis quelque chose dedans ? Je vois l’inquiétude s’installer sur son visage. — Oui, il y avait quelque chose ; et a priori, tu as aimé. — Oui, il était bon. Dis-moi ce qu’il y avait dedans ? Elle trépigne, mais continue à boire son chocolat. — Tu va adorer : en plus du chocolat, il y avait mon sperme. Il paraît que l’association chocolat/sperme, ça marche bien ! dis-je en pouffant de ...