1. L'inconnue du dix-septième étage


    Datte: 10/09/2020, Catégories: fh, inconnu, Collègues / Travail Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, BDSM / Fétichisme délire, bourge,

    ... elle est capable de vous pousser très loin, mais ne vous obligera jamais à faire quelque chose que vous ne voulez pas faire. Surprenant, dans ces conditions, que la fille n’ait pas été avertie de cet interdit qui m’est propre… Cela ne l’empêche pas de m’astiquer comme une furieuse, le sourire aux lèvres. Tout le monde a compris ce qu’elle veut, à commencer par moi… Et j’avoue que cela me tente terriblement. Alors, où vais-je envoyer la sauce ? Sur son visage, pour le plus grand plaisir des spectateurs, qui se régaleront sans doute des longues traînées de foutre qui lui feront un nouveau type de masque de beauté ? Ou vais-je plutôt viser ses yeux, juste pour la voir grimacer lorsque ma semence coulera sur ses paupières ? En fait, ce que je fais mine d’oublier, c’est que c’est elle qui mène le bal, et qu’elle peut tout aussi bien décider de me faire gicler sur ses seins pour mieux s’amuser ensuite à étaler ma liqueur sur son adorable poitrine ou tenter de la laisser descendre jusqu’à son pôle Sud… Mais, tandis qu’approche le point de non-retour, il me semble qu’elle a déjà choisi une autre option, certes très classique mais aussi terriblement efficace. Elle a placé ma queue juste en face de sa bouche ; l’invite est d’autant plus claire que je ne peux plus me retenir… Si tant est que j’en aie encore envie. La première giclée l’atteint juste sur la lèvre supérieure, et le liquide blanchâtre se met aussitôt à couler sur sa langue tandis que les autres jets tombent directement ...
    ... dans son gosier ouvert. Lorsque la source se tarit enfin, elle reste tout de même la bouche grande ouverte pendant de longues secondes, comme pour mieux permettre à l’assistance d’immortaliser le flot de semence qu’elle se plaît à exhiber comme un trophée. Puis elle consent enfin à avaler ostensiblement la cargaison, juste avant de remontrer à l’assistance que, cette fois, sa bouche est vide. J’en suis encore à me demander où j’habite lorsqu’elle me tend mes vêtements. La petite foule se disperse, et tout porte à croire qu’elle va reprendre tout simplement ses occupations. Pourtant, quelque chose me dit que pendant les pauses des prochains jours, on n’aura pas fini de parler de nous et de s’échanger photos et vidéos. Elle rompt soudain le silence. — Au rez-de-chaussée, il y a une cafétéria. Je t’offre quelque chose à boire ; je crois que nous l’avons bien mérité. Accessoirement, je ne connaissais pas le son de sa voix. Elle parle admirablement français, mais son accent trahit une origine nordique. Suis-je en train de divaguer, ou cette façon de s’exprimer me rappelle quelqu’un ? Je balaie cette question d’un revers de la main, me contentant de la suivre dans le couloir. — Ce n’est pas de refus, belle inconnue. Puisque nous en sommes là, puis-je connaître ton prénom ? Une fois de plus, elle se contente de sourire. L’ascenseur est là, la porte s’ouvre, et tandis que nous y entrons, elle me tend une petite carte de visite qu’elle vient de sortir de sa poche. Je lis : « Vanessa ...
«12...101112...»