L'inconnue du dix-septième étage
Datte: 10/09/2020,
Catégories:
fh,
inconnu,
Collègues / Travail
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
BDSM / Fétichisme
délire,
bourge,
... montre le badge fourni avec le reste des documents, un gigantesque hall pavé de marbre blanc. Dans l’ascenseur, en face du bouton du dix-septième étage, je remarque une plaquette aux couleurs d’une société qui m’est totalement inconnue, Svensson France. C’est assez surprenant, dans la mesure où je n’ai pas l’habitude de me rendre dans des locaux apparemment professionnels. Le long couloir débouche sur un immenseopen-space meublé de dizaines de bureaux. Partout, ce ne sont qu’ordinateurs et téléphones, des écrans comme s’il en pleuvait et des montagnes de dossiers. Par contre, il n’y a pas âme qui vive dans ce dédale de coins et de recoins. Treize heures cinquante précises. Un toussotement discret, derrière moi. Je me retourne, mon sang ne fait qu’un tour… La fille est là, face à moi, et porte exactement le même masque que celui de la photo, et celui-ci ne m’empêche toutefois pas d’apercevoir deux somptueux yeux verts. De même, seul le bas de son visage est visible, mais ce sourire est celui d’un ange tombé du ciel… Charmant tableau. Ajoutons-y en outre une incroyable crinière aussi bouclée que blonde qui lui tombe loin dans le dos, quasiment à la lisière de sa jupe. La jupe, précisément, est sans doute l’une des plus courtes que j’aie jamais vue, et elle forme un ensemble avec sa veste de tailleur. L’une des consignes me revient alors à l’esprit : « Ne pas prononcer une seule parole inutile ». Elle doit sans doute avoir les mêmes, puisqu’elle se contente de me rendre mon ...
... sourire sans un mot. Ne réfléchissons pas trop, ce n’est pas prévu dans le contrat et, de toute façon, ce serait une perte de temps. Si elle est là, c’est qu’elle est au courant de ce que l’on m’a demandé ou, au moins, qu’elle est prête à l’accepter même si elle ne sait pas encore de quoi il s’agit. Alors, puisque les choses sont censées être claires, allons-y carrément, puisqu’il semble bien que nous sommes là pour ça. Je l’attrape alors par la main et l’amène tout contre moi. Ma main droite s’est ostensiblement posée sur son cul, juste assez pour que son bas-ventre vienne se coller contre le mien. Message reçu cinq sur cinq ! Non seulement elle ne résiste pas, mais elle m’embrasse à pleine bouche. Malgré le masque, nos langues se mêlent alors à n’en plus finir… Et je sens qu’elle se colle encore un peu plus à moi que ma main droite ne l’y invite. Tout en continuant de l’embrasser, c’est à ma main gauche d’entrer en scène ; et elle le fait en défaisant sans hésitation le bouton du tailleur pour me permettre d’accéder à sa poitrine. Ma dextre monte, monte et monte encore, jusqu’à se poser sur un sein menu, terriblement ferme et dont la pointe réagit instantanément au travers du chemisier de soie. La belle ne porte pas de soutien-gorge ; c’est si rare de nos jours… Là encore, elle se laisse docilement faire, se contentant d’accueillir ma caresse pourtant plus que directe avec un petit gloussement ravi. L’entrée en matière étant favorable, ne nous arrêtons pas en si bon chemin… ...