1. L'inconnue du dix-septième étage


    Datte: 10/09/2020, Catégories: fh, inconnu, Collègues / Travail Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, BDSM / Fétichisme délire, bourge,

    ... Parvenant, presque à regret, à me décoller d’elle, je lui ôte alors sa veste de tailleur que je pose avec soin sur le dossier de la chaise. Une fois de plus, elle me laisse agir sans broncher, le regard plutôt amusé lorsque je m’attaque aux boutons de son chemisier. Par contre, lorsque sa délicate poitrine apparaît, je me peux m’empêcher de la couvrir de baisers, caressant d’une main un sein tandis que ma langue et ma bouche s’attardent sur la pointe de l’autre… Le chemisier vient de rejoindre la veste sur le dossier du siège… Les mains sur les hanches, la poitrine au vent, ses yeux se vrillent dans les miens. Malgré le masque, je ne perds rien de son regard, et mon dieu, quel regard ! Elle me dévore des yeux ; quelque chose me dit que je ne perds rien pour attendre… Tiens, je ne l’avais pas remarqué jusque là, la belle porte sur le bras un tatouage aussi somptueux que peu discret. Difficile à décrire, mais il semble qu’il s’agisse d’une geisha en grande tenue – mais quelque peu dépoitraillée – chevauchant une énorme carpe koï. Le motif est impressionnant autant par sa taille que par le chatoiement des couleurs, tandis que la finesse du trait trahit le travail d’un véritable artiste, sans doute de très haute volée. Cependant, inutile de se laisser distraire par ce qui m’a tout l’air d’être une véritable œuvre d’art ; il paraît que je ne suis pas là pour ça… Mais, bien plus prosaïquement, pour défaire sa jupe, qui tombe bien vite sur le sol. Mon dieu, même si je m’en doutais, ...
    ... cela fait quand même quelque chose… Sous ce microscopique morceau de tissu, la belle arbore un somptueux porte-jarretelles de dentelle noire ainsi qu’une paire de bas assortis. Indiscutablement et sans critique aucune, ce n’est pas de la lingerie de supermarché… C’est peut-être pour cela que la belle n’a sans doute pas souhaité investir dans une quelconque culotte, et c’est ainsi que, pour la première fois de ma vie, je découvre en réel la toison d’une véritable blonde, toute aussi claire que ses cheveux. Seul son délicat abricot est lisse… Si, comme tout porte à le croire, elle est venue à pied et dans cette tenue, les passants et tous ceux qu’elle a croisés dans la rue ont dû se régaler. À l’occasion, j’essaierai de le lui demander. Enfin, dès que nous aurons le droit de nous exprimer… Je la pousse doucement vers le bureau, où je l’invite à s’allonger. Une aussi jolie petite chatte, cela ne se refuse pas… Je m’agenouille, écarte calmement ses jambes, et je plonge dans le compas de ses cuisses. Son charmant abricot sent délicieusement bon, et chacun de mes coups de langue vers son petit bouton se solde par un léger gémissement qui me laisse à penser que la belle apprécie vraiment le traitement que je lui fais subir. Et cela tombe plutôt bien, puisque sur la feuille de consignes de Maîtresse Clara, il n’y a rien concernant une petite descente à la cave. Or, dans notre microcosme comme partout ailleurs, tout ce qui n’est pas interdit est autorisé ! Cela dit, ne jouons tout de ...
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