Martha, la fille de feu et de glace (1)
Datte: 10/09/2020,
Catégories:
fh,
couple,
campagne,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
intermast,
Oral
pénétratio,
... Diable », sorte de jacuzzis naturels que l’on trouve en Islande et dans lesquels l’eau et la boue sont à près de 50°C, quant un geyser ne vient pas en remuer le confort. Elle aime aussi le froid intense, piquant, de l’air ou de la glace, celle de l’eau sortant directement des glaciers, le contact de la glace vive sur son corps ou la bise froide du vent du nord qui vient durcir la pointe de ses seins. Mais par dessus tout, ce qu’elle préfère, c’est le mélange des deux sensations, en même temps. Sentir sur son corps, dans son corps, autour de son corps cette double sensation de chaud, de brûlant, de froid, de glacé. Mon esprit cartésien, à la limite petit-bourgeois, qui aime avoir un certain confort pour m’ébattre avec ma partenaire, favorisant plutôt le douillet nid de mon lit et de ma couette que les lieux plus rustiques, peut-être plus romantiques, mais tellement plus agréable … bref, cet esprit un peu rétro a du mal à imaginer le mariage de ces deux extrêmes et qu’en plus on puisse en éprouver du plaisir. …Et pourtant ! Le spectacle que Martha venait de me montrer semblait prouver le contraire. Fille d’une terre de hauts contrastes, elle est l’air, le feu, l’eau, le chaud et le froid… à elle toute seule, Martha est l’incarnation de l’Islande. Au fur et à mesure qu’elle se raconte, son corps, toujours pelotonné contre le mien, semble s’animer, bouger, remuer, se réchauffer. Insensiblement nos bouches se cherchent, nos lèvres s’effleurent, nos langues se mélangent… le baiser ...
... chaud, long, langoureux, profond devient un long prélude à une fusion de nos corps. Je suis excité. Elle s’offre, quémande, réclame une étreinte. En me raisonnant, en me contrôlant, j’explore son corps, avec les mains, avec mes doigts, avec ma bouche, avec mon nez … Il me semble que je n’omets aucun centimètre carré de sa peau. De la racine de ses cheveux blonds, fins et aériens jusqu’au bout de ses orteils, longs et fins. Je passe sur ses seins dodus, durs et souples, chauds et pointus au bout. Je titille avec ma langue les tétons et, en aspirant l’une après l’autre les petites pointes turgescentes et sensibles, je sens la peau se friper, durcir, former de petits plis. Je descends sur son ventre, plat, musclé, orné d’un fin duvet blond qui ondoie sous mon souffle léger et dont les muscles se contractent lors de mon intrusion dans son nombril. Un ombilic, profond, oblong qui se dérobe sous la pointe dure de ma langue ou va s’y écraser en remontant vers elle. Je respire longuement l’odeur de son pubis, de ses quelques poils clairs et blonds qui ornent son mont de Vénus pour aller ensuite dénicher, au creux de sa vulve, son bouton de plaisir. Petite tigette dure, pointant déjà fièrement sa petite tête ronde, lisse, décalottée, humide et chaude que j’aspire à loisir, entre mes lèvres, jouant avec ma langue sur le bout pour en exacerber les contractions et la rigidité. Ensuite, je me perds dans ses lèvres intimes, ouvrant largement son sexe, bouche chaude, brûlante, humide, pour ...