Martha, la fille de feu et de glace (1)
Datte: 10/09/2020,
Catégories:
fh,
couple,
campagne,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
intermast,
Oral
pénétratio,
... le fouiller le plus loin possible, déclenchant spasmes et cris tandis que Martha, les jambes largement écartées me tient la tête, m’appuyant dessus et rythmant ainsi mes intrusions et explorations. Je m’enivre de ses odeurs, de ses humidités, de ses cris, des ses feulements, de ses coups de reins donnés vers ma langue pour m’inciter à aller toujours plus loin. Elle est échevelée, a perdu son bonnet péruvien, ahane sous les caresses et rugit son plaisir qui perce et trouble le lourd silence de la montagne environnante. Elle m’attire ensuite lentement vers elle, me baise longuement la bouche, exaltant une fraîcheur qui contraste avec le feu qui coule dans nos veines. À son tour, elle parcourt mon corps, tendu et excité, avec une langue dure et pointue qui m’a fait fantasmer quelques heures auparavant. Puis elle se penche sur ma virilité au bord de l’explosion pour l’avaler dans son entier, jouant avec la sensibilité de mes chairs, provoquant des soubresauts toujours plus violents, exacerbant le plaisir et le désir en usant des ses dents, de sa langue, de ses doigts, tandis que les cheveux, épars, jouent de leurs pointes sur mes poils, rendant chacun d’eux aussi excité que mon sexe et en démultipliant le plaisir. Enfin, dans un mouvement lascif de son corps, elle vient me chevaucher pour se lancer, sur un rythme effréné, à une série d’allers retours, dont seul l’écrasement violent des ses chairs sur mon ventre fait un obstacle à une pénétration plus profonde de son intimité ...
... trempée de désirs et de plaisirs. Le spectacle, ô ! combien émoustillant de l’après-midi, les caresses que nous venons d’échanger longuement, ont tôt fait d’exacerber nos corps, nos plaisirs, notre jouissance. L’explosion vient. Soudaine, violente, incontrôlable, puissante. Elle monte en droite ligne dans ma tête, crée un immense voile blanc, une douleur stridente dans le crâne qui persiste durant de longues minutes, alors que le corps de Martha s’alanguit sur le mien… à bout de souffle, incapable de bouger. Seuls quelques spasmes espacés contractent encore son sexe et la secouent dans tout son corps. Fille du feu et de la glace, Martha se lève alors, délicatement. Dans la lumière des lampes à pétrole, je vois son corps luisant de sueur, les seins droits, hauts, fiers. Le ventre plat se soulève au rythme encore rapide d’une respiration difficile à contrôler. Elle farfouille dans les vêtements épars et les sacs de couchage, fait resurgir de cet amas de tissus, son bonnet péruvien dont elle se coiffe. Puis, d’un pas souple, elle traverse la pièce, me laissant, sur la couchette, admirer sa plastique et sa beauté nordique, pour ouvrir la porte du refuge. Un courant d’air glacé accompagné d’une bise glaciale fait vaciller les flammes dans les lampes, tandis que je tire précipitamment une couverture sur mon corps nu et en sueur, elle est déjà absorbée par la nuit et le froid. Entre les mugissements du vent qui s’infiltrent dans les joints de la porte, je l’entends dehors, rire aux ...