1. une bonne mature


    Datte: 16/09/2020, Catégories: Mature, Première fois

    Lorsqu’il avait dix-sept ans, Xavier a vécu une histoire torride avec une femme mûre. Aujourd’hui que son fils est ado, il s’en souvient et fait le bilan. Avec tendresse.Le temps passe vite. Mon fils Diego a eu dix-sept ans cet été. Le même âge que j’avais lorsque j’ai rencontré Solène. A l’époque, j’étais un passionné de course à pied, je faisais mes quatre allers-retours quotidiens au lycée en courant, je m’entraînais dès que j’avais une minute. Le prof de sport m’a recommandé auprès d’un club d’athlétisme pour que je puisse avoir mon propre entraîneur. Solène avait 36 ans et elle y venait avec son mari, qui était membre du bureau.Nous étions les coureurs les plus performants du club, chacun dans notre catégorie, et rapidement nous nous sommes mis à nous entraîner ensemble. Moi lycéen et elle dans l’Administration, on pouvait se retrouver en fin d’après-midi pour aller courir le long de l’Isère. C’est rare à ce niveau de trouver quelqu’un qui tienne la distance et j’étais ravi et pas peu fier de partager ces moments avec elle. C’était une femme superbe, avec une silhouette de coureuse, élancée, petits seins, taille fine, jambes à se damner. En plus, elle avait des yeux incroyables, comme Elisabeth Taylor. Dans le club, il n’y avait que nous deux qui tenions si bien la distance, et entre émulation, effort partagé et admiration mutuelle, nous nous sommes vite rapprochés.J’étais flatté de cette complicité, mais je n’imaginais pas une seconde que son intérêt puisse aller ...
    ... au-delà de l’affection amicale. Bien sûr, j’ai commencé à fantasmer sur elle, on court en short très short… J’avais déjà fait l’amour avec une fille de mon âge, mais pour l’ado que j’étais, être initié aux choses du sexe par une femme tel que Solène tenait du rêve : l’expérience, la connaissance de son corps, de son plaisir et de celui de son partenaire, autant de choses que ne pouvait offrir une fille de seize ans aussi terrifiée que vous à l’idée de franchir le pas. J’essayais de refouler tout ça lorsqu’on s’entraînait, mais souvent, ma tête partait en vrille.Et un jour, nous avons gagné, chacun dans notre catégorie, un semi-marathon. Le prix était un long week-end à Londres. La question ne s’est même pas posée : il allait de soi qu’on le passerait ensemble.Déjà dans le bus vers l’aéroport, l’ambiance avait changé entre nous. Elle potassait son Guide Bleu et me montrait des images, et nos têtes se retrouvaient très proches, alors que jusque-là, nous en étions à peine à nous faire la bise. Arrivés à l’hôtel, à côté de Picadilly Circus, nous avons posé nos affaires, évidemment chacun dans sa chambre, et nous avons passé l’après-midi à arpenter Londres. Elle avait concocté un super itinéraire, moitié monuments, moitié shopping. J’exultais simplement d’être là, sans arrière-pensée. Et puis est arrivé le dernier truc auquel je m’attendais : alors qu’on traînait chez Mark&Spencer, elle a pris ma main. Je me disais que c’était une marque d’amitié, qu’il ne fallait pas que je me ...
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