une bonne mature
Datte: 16/09/2020,
Catégories:
Mature,
Première fois
... méprenne, ni que je commence à me faire des films. Solène qui flirtait avec moi ? De la science-fiction !Le soir, on a mangé dans un petit resto, j’avais commandé un truc bizarre, genre huitres à la menthe, et je faisais mon malin à me demander comment j’allais pouvoir avaler ça. La vérité, c’est que j’étais de plus en plus troublé et que je ne voulais pas que ça se voit. Elle souriait à mes clowneries et me regardait d’une façon qui n’arrangeait pas mes affaires. Au dessert, elle a soufflé la bougie qui se trouvait au centre de la table et s’est penchée sur moi pour m’embrasser. « Tu es beau, Xavier, est-ce que tu sais à quel point tu es beau ? ». Elle m’a avoué que cela faisait un bon bout de temps que je lui plaisais, et qu’elle m’admirait « comme athlète et comme personne ». Moi, je ne me trouvais pas beau, loin s’en fallait, et ses mots m’ont bouleversé. Elle m’a demandé si c’était la même chose de mon côté, et si j’avais envie qu’on dorme ensemble. J’ai répondu oui à tout. Nous sommes rentrés à l’hôtel.Elle est venue dans ma chambre et… vous imaginez, deux marathoniens fous de passion : on a fait l’amour toute la nuit. Littéralement : on a vu le jour se lever. Je savais à peine à l’époque ce que « préliminaires » pouvait vouloir dire. Ah bon, les femmes aiment qu’on caresse leurs seins tant que ça ? Et on peut rigoler au lit sans avoir l’air débile ? Au réveil, nous avons recommencé. J’étais excité et renversé en même temps, et si j’ai évidemment adoré qu’elle prenne ...
... mon sexe dans sa bouche, j’ai été presque choqué quand elle a dirigé ma tête vers le bas de son ventre. Comme je savais que « ça se faisait », je me suis appliqué, soucieux de bien faire sans pour autant savoir si j’aimais ou pas. On est à peine sorti de l’hôtel, juste ce qu’il fallait pour avoir des photos à montrer en rentrant. Et tant pis pour le Bristish Museum.Je n’en revenais pas de voir mon fantasme devenu réalité, j’avais l’impression d’avoir atterri sur une autre planète. D’ailleurs, pendant l’année qu’a duré notre histoire, cette sensation ne m’a pas quitté. On s’est embrassé comme des fous jusqu’à atterrir à Paris. Dans le train du retour, je m’attendais à ce qu’elle me dise que je devais tout oublier, mais au contraire, elle a commencé à faire des plans pour les mois à venir.A la rentrée, j’ai commencé la Fac à Lyon, j’avais ma chambre universitaire, et je rentrais le week-end chez mes parents. Le club était toujours au centre de ma vie, et Solène avec. Je courais, j’étudiais et je faisais l’amour avec elle. Pourtant, avec le recul, je ne peux pas dire que j’étais amoureux. J’étais très attaché, séduit, accro, mais j’avais toujours l’impression de vivre quelque chose d’irréel. Solène faisait très souvent la petite centaine de kilomètres qui nous séparaient, et j’étais très fier lorsqu’elle venait m’attendre à la sortie des cours. J’avais droit à des réflexions assez contrastés de mes potes du « waw, quelle belle femme » admiratif, au « mais c’est une vieille » ...