La première fois
Datte: 16/09/2020,
Catégories:
fantasme,
ff,
ffh,
Collègues / Travail
voiture,
amour,
Oral
... jusqu’au creux de ses reins et son maquillage est parfaitement réussi. Elle a même mis du parfum qui je l’avoue, mélangé à l’odeur de son shampoing, est un divin plaisir. De joie, je lui refais la bise, elle rigole en me rappelant que l’on s’est vu y’a même pas deux heures. J’essaie tant bien que mal de me ressaisir pour ne pas trop afficher mon trouble et surtout pour éviter qu’elle regrette de m’avoir proposé de sortir boire un verre avec son mec. Ce qui me rassure, c’est qu’elle a l’air de trouver ça amusant plutôt que dégoûtant. On se dirige vers la voiture pour rejoindre Montpellier où son copain nous attend. On se retrouve donc dans un bar. Son copain est très grand brun avec des yeux très bleus et de larges épaules, c’est plutôt un bel homme et je soupçonne qu’il est plus jeune qu’elle, mais légèrement plus vieux que moi. L’endroit est désert vu que nous somme en semaine. Le bar donne dans une ruelle où j’avoue n’être jamais passée auparavant. On décide de s’asseoir à une table extérieure ; de là, on commence à discuter et à boire un verre. Puis les heures passent, les verres aussi. Nos têtes commencent à être sérieusement embrumées par ce sombre alcool qu’est le Cuba Libre. Elle rigole de plus en plus à mes blagues, et est de plus en plus proche de moi. De temps en temps, Aurélie envoie des textos à son copain qui est juste en face d’elle, je pense que c’est pour éviter que j’entende leurs envies sexuelles. Sur un malentendu, je la suis dans la ruelle jusqu’à la ...
... voiture. Je ne sais même pas ce que l’on est venu faire ici ni même pourquoi son copain est resté assis à la table tout seul sans même vouloir nous suivre. Mais je sens quand même son regard peser sur nous. Quand on arrive à notre destination, elle ouvre la portière prend son pull, referme la voiture et se plante devant moi. De là, elle me dévisage, son regard est intense et ses lèvres entrouvertes m’appellent. Prise de court et sentant que la situation tournait de plus en plus en ma faveur, je lui lance : — Tu n’a pas peur de te retrouver seule avec moi ? À quoi elle répond au tac-au-tac : — Je ne vois pas pourquoi j’aurais peur si moi même j’en ai envie. Je me mets à sourire nerveusement. Je ne sais plus quoi dire je reste là sans voix, alors au lieu de parler j’agis. Je m’avance tout doucement vers elle avec un sourire jusqu’aux oreilles, je lui lance un regard qui en dit long sur mes intentions. Par surprise, elle recule, un pas, puis deux, puis trois et enfin elle s’appuie contre la voiture ; elle me lance, elle aussi, un regard de braise et me dévore les lèvres à distance. Arrivée tout près d’elle, je dépose mes mains sur le capot de part et d’autre de son corps bien amoché par l’alcool, certes, mais tout de même sublime. On se retrouve donc là, dans cette ruelle peu éclairée, à deux centimètres l’une de l’autre, observant les moindres réactions, écoutant nos respirations s’accélérer pour un battement de cils ou pour un sourire trop nerveux. En tout cas nous sommes toujours ...