1. La première fois


    Datte: 16/09/2020, Catégories: fantasme, ff, ffh, Collègues / Travail voiture, amour, Oral

    ... observées par son copain qui ne doit distinguer que nos ombres. Après quelques secondes, immobile je lui dis : — Décidément, tu n’as vraiment pas peur.— Faut croire que tu ne fais pas si peur que ça. Je souris bêtement sans savoir ce que j’allais répondre. — Ah, c’est pas ce que l’on m’a dit.— Faut croire que je suis plus courageuse que les autres, ou que j’en ai plus envie.— Envie de quoi ? J’essaie de prendre mon air surpris, mais cela n’a guère de conséquences. — Je sais pas. Devine, dit-elle avec un grand sourire qu’elle ne put s’empêcher de retenir.— Chiche.— Chiche. Sur ces paroles, je m’avance et je l’embrasse avec toute l’envie que j’ai concentrée jusqu’à présent. Nos bouches s’embrassent, s’entrechoquent. L’envie fuse dans cette valse sensuelle. Je referme mes bras sur elle, la pousse un peu plus sur le capot. Puis j’empoigne à pleines mains ses seins que je descends mordiller puis je remonte dans son cou. La tension monte d’un cran, mais je me vois mal coucher avec elle devant les yeux concentrés de son mec. Je l’attire donc vers l’arrière de la voiture où il est maintenant impossible de nous voir. Arrivées je me rapproche d’elle à une vitesse folle, comme si je n’avais plus touché son corps depuis des mois. Je reprends ainsi le cours de notre activé avec plus d’ardeur, plus d’envie qui est bien entendu plus que partagée. Prise dans le mouvement, ma main descend, descend encore et remonte délicatement avec l’extrémité de sa robe. Dans la pénombre j’aperçois le ...
    ... triangle qui cache son intimité, il se dessine au fur et à mesure que je remonte le vert émeraude qui la rend si sexy. Mes doigts glissent sur son bouton tout en jouant avec. Sa respiration devient plus forte et plus saccadée. En ayant marre, je passe ma main sous son string me retrouvant donc en contact direct avec sa peau. Puis sans même ne l’avoir jamais fait et avec tout le naturel dont je suis capable, mes lèvres descendent en déposant au passage quelques succions sur ses tétons durcis. Ma bouche arrive enfin au-dessus de son nombril. J’ai tellement envie de franchir le pas, de la goûter, de savoir réellement quelle texture m’y attend, j’en ai si longtemps rêvé. Savoir ce que cela me ferait : dégoût ? Émerveillement ? En tout cas je prends petit à petit le chemin de l’objet de mes fantasmes mais objet qui m’est totalement inconnu. Accroupie devant elle, j’empoigne rapidement le bout de tissu qui me sépare de mon objectif puis délicatement ma bouche rejoint mes doigts toujours en action. Ma langue glisse et se déchaîne sur ce simple bout de peau, mais à en croire ce que j’entends, ça lui fait pas mal d’effet. Je ne suis pas surprise par le goût, encore moins dégoûtée. Sa chair est chaude et douce, et l’odeur n’est pas forte, je ne distingue pas de goût. Serait-ce l’alcool qui m’a complètement anesthésié les papilles ? Je ne saurais le dire. À force de l’entendre gémir, j’essaie de par ma main libre d’étouffer ses gémissements qui me procurent une grande satisfaction mais aussi ...
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