Vive la Normandie
Datte: 17/09/2020,
Catégories:
fh,
2couples,
couplus,
cocus,
Collègues / Travail
piscine,
campagne,
Oral
pénétratio,
fsodo,
échange,
... Chaque muscle semble traduire une émotion, un moment, un mouvement, une sensation. La dilatation du sphincter sous la poussée du gland. Le relâchement soudain alors qu’il est entré et que l’anneau étrangle maintenant sa base. La lente progression qui écarte les chairs et donne l’impression que cette colonne est sans fin. Mais aussi les bourses qui viennent heurter la chatte et signifie que la bête est toute entière dans la place. Ce n’est pas la première fois qu’Anne m’offre ce spectacle, mais c’est toujours une révélation et je ne me lasse pas de regarder. Son amant s’immobilise un instant. Je reprends ma baise sur Lise. Les deux femmes sont face à face. Robert décide de commencer ses mouvements. Alors se produit une chose inattendue : Lise, certainement emportée par l’exemple de ma femme, véritable égérie de la sodomie, reproduit la même scène et m’offre son cul. C’est à son compagnon de maintenant s’immobiliser pour regarder. Je n’ose pourtant pas l’enculer malgré l’envie qui me tenaille, car sa rondelle paraît très serrée. Même si cela semble vulgaire, je décide de laisser tomber de la salive sur sa raie, et d’un doigt masse le petit trou. Mais la belle cache bien son jeu car, dès que je pousse la porte avec le pouce, le battant s’écarte et je glisse sans grande difficulté. Deux ou trois va-et-vient et je remplace mon doigt par ma queue. Moi aussi, je dilate l’anus. Moi aussi, je sens le muscle serrer la hampe. Moi aussi, je pousse doucement jusqu’à sentir mes ...
... couilles contre sa chatte. Si je ne peux voir le visage de l’enculée, par contre celui de son ami est là, juste en face. Je sais que pour lui c’est la première fois ; et même s’il encule quelquefois sa copine, jamais il n’a pu la voir dans cette situation. Ses yeux vont de la croupe envahie par mon dard au visage de Lise. Aller, retour. Voilà qui invite à reprendre. Ma queue est à l’étroit dans ce cul et c’est si bon de se retrouver ainsi, fantasmant d’être le premier. Je vais et je viens, entre tes reins ! Nos anciens savaient reconnaître et chanter les belles choses ! Je vais et lui aussi va, maintenant. Nos deux femmes sont à l’unisson. Je joue maintenant à sortir mon dard entièrement pour regarder un instant l’anus resté ouvert, œil bâillant qui me regarde et semble me dire « Allez, reviens ! ». Et je reviens, envahissant avec allégresse ce cul offert, si étroit mais heureusement déjà rodé par mes prédécesseurs. Robert et moi nous regardons. Chacun, d’un regard, remercie l’autre de ce qu’il lui offre. Nous avançons et reculons de concert dans les reins de nos compagnes. Elles aussi se regardent. Elles sont si proches. Les visages pourraient se toucher, et à chaque poussée elles pourraient… Oui… Elles le font… Anne, coquine, tend ses lèvres… Nous poussons plus fort. Les bouches s’approchent, se frôlent, se touchent et semblent rester collées l’une à l’autre. Elles échangent un baiser. C’est trop fort. Trop beau ! Trop bon ! Je viens ! Je jouis ! Mon jus envahit ce cul, inonde, ...