1. Vive la Normandie


    Datte: 17/09/2020, Catégories: fh, 2couples, couplus, cocus, Collègues / Travail piscine, campagne, Oral pénétratio, fsodo, échange,

    ... nous propulse. C’est très lentement que je sens venir ma jouissance. Elle aussi donne des signes avant-coureurs. Notre plaisir arrive. Ma sève monte, geyser apprivoisé et contenu dans son écrin étroit de jeune femme que la maternité n’a pas encore dilaté. En sortant de la piscine, j’ai le réflexe de récupérer les filets blancs qui flottent entre deux eaux et qu’un œil un peu aguerri pourrait identifier. Nous nous séparons. Chacun rejoint sa chambre. La maison est silencieuse ; peut-être même qu’un léger ronflement indique que les parents dorment. Il est trop tard pour appeler Lise, ma copine. J’envoie juste un SMS, un peu mystérieux : Je lui raconterai demain mon aventure. Oui ! Bien sûr ! Cela fait partie de nos accords. Chacun peut vivre des aventures en dehors de notre couple, mais l’autre doit en être informé. Notre libido s’en porte à merveille et nous veillons à ce que les écarts soient équilibrés. Avant de m’endormir, je lis toujours, quelle que soit l’heure, surtout après une partie de baise afin que le corps et l’esprit se calment. Mais j’entends que l’on frappe à ma porte.« À cette heure ? Qui…? » Je réponds d’un « oui » à peine audible, et pourtant la porte s’ouvre. Un bras apparaît, la main se dirigeant vers l’interrupteur, et la seconde d’après la pièce est plongée dans l’obscurité. Sophie – car cela ne peut être qu’elle – semble vouloir remettre le couvert, comme on dit. Décidemment, elle a du tempérament, cette fille ! Il fait nuit noire, et les volets fermés ...
    ... empêchent la lueur de la lune de venir adoucir cette noirceur. La porte se referme sans bruit. Elle a raison d’être prudente : ses parents dorment de l’autre côté de la cloison. Le lit bouge, des mains cherchent des repères et une bouche cherche la mienne, l’atteint après un tâtonnement bien agréable. Ce ne sont plus les lèvres humides, celles que l’eau de la piscine rendait si fraîches, mais des lèvres chaudes, sensuelles qui dévorent ma bouche dans un baiser dominateur. Quel tempérament ! Mes mains découvrent un corps chaud et nu qui se presse contre le mien. Mais elle m’abandonne. Je sens le drap tiré vers le bas et aussitôt mon short de nuit suit le même chemin. Mon ventre est chatouillé par ses longs cheveux et la seconde suivante sa bouche s’empare de mon sexe, encore tranquillement au repos. Mais bien vite il répond présent, se déployant et se raidissant pour faire honneur à la suceuse. Étrange sensation de ne rien voir et de tout faire à tâtons. En réalité, je ne fais rien. Sophie s’occupe de tout. Sur le lit, sans le handicap de l’eau, elle me donne un très bel aperçu de son talent, dans une fellation qui me ferait juter si notre première séance dans la piscine n’avait ralenti mes ardeurs. Mouvements. Une jambe manque de me cogner et je me retrouve chevauché par ce que je devine la chatte de ma belle. Pas de doute : sous son aimable pression, je découvre à l’aveugle ce que la lumière diffuse de la piscine m’avait révélé. Étrangement, dans le noir, les sensations sont ...
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