Vive la Normandie
Datte: 17/09/2020,
Catégories:
fh,
2couples,
couplus,
cocus,
Collègues / Travail
piscine,
campagne,
Oral
pénétratio,
fsodo,
échange,
... totalement différentes. Le minou est généreux, les plis plus charnus ; même le clito semble plus grand. La fraîcheur de l’eau doit certainement agir sur les femmes comme sur nous, les hommes, qui montrons parfois des sexes presque ridicules tellement ils sont contractés. Mais je me régale devant tant de chaleur et de sensualité. Sophie ondule, me présentant toute la panoplie de son intimité. Depuis son petit bouton jusqu’à son anus, elle se fait un plaisir de proposer à ma langue – que je regrette si petite – tous les recoins d’une femme. Elle insiste longuement sur son petit trou que je sens s’animer sous mes caresses. Et si…? Mais je n’ai pas le temps de vérifier mon hypothèse qu’elle me quitte. Nouveaux mouvements, et c’est pour retrouver Sophie sur moi, déjà en place pour se posséder sur ma queue. Mon cerveau reconstitue tout ce qu’il ne voit pas mais que les autres sens lui disent. Elle, à genoux sur mon pubis, ma verge entre ses doigts et sa flexion qui amène la fente déjà ouverte vers le gland. Mon gland qui disparaît, plongeur émérite et avant-garde de la hampe qui ne fait que passer pour, elle aussi, être happée par la bouche gourmande de ce sexe brûlant. Les fesses, qui maintenant s’appuient sur mes cuisses, mais qui ne font que passer, pour revenir frapper dans un bruit que le silence de la pièce amplifie et m’inquiète pour nos voisins. Je suis bien, au chaud, à l’étroit dans ce con de jeune fille dans lequel je glisse pourtant sans effort. Mes mains se tendent ...
... pour apporter leur contribution de caresses aux seins qui doivent ballotter au rythme de la possession. Mais elles rencontrent d’autres mains qui en ont déjà pris possession et que je devine palper, caresser les globes charnus et fiers avec les doigts qui doivent pincer et étirer les tétons érigés. Sophie n’a pas besoin de moi. Je ne suis que le fournisseur du pieu chaud, dur et vivant sur lequel elle se baise. Elle se baise, à son rythme, avec la profondeur et la force d’une Amazone qui, petit à petit, s’emporte sur sa monture. Je tends alors mon bras pour aller caresser son clito qui doit être livré à lui-même. Voilà, il est là, caché dans son repli que je m’amuse à découvrir avec mes doigts. Mais… Où est… ? Je pousse mon exploration un peu plus loin et comprends que Sophie s’est empalée par le cul et non pas par le fourreau que je découvre libre. Quelle coquine ! Si jeune et déjà si experte… Il me semblait bien que sa rondelle appréciait mes caresses buccales. Ainsi, elle se sodomise. Cette révélation sert de déclencheur à mon plaisir. Comme un coup de fouet dans mes reins, cette vision libère toute la tension accumulée et mon sperme, pour la deuxième fois de la soirée, jaillit en spasmes délivreurs. Sophie, elle aussi, s’approche de la conclusion. Sa bouche laisse passer des gémissements qu’elle retient pour ne pas éveiller les soupçons, mais elle ne peut cacher l’orgasme qui la paralyse un instant. Elle tressaille maintenant, et petit à petit semble retrouver son calme. Un ...