Vive la Normandie
Datte: 17/09/2020,
Catégories:
fh,
2couples,
couplus,
cocus,
Collègues / Travail
piscine,
campagne,
Oral
pénétratio,
fsodo,
échange,
... baiser et la belle disparaît non sans rallumer la lampe toujours avec cette main inconnue avant de repousser la porte. Quelle drôle, mais quelle bonne idée de jouer les rats d’hôtel pour venir apporter au client un service d’étage digne des Mille-et-Une-Nuits ! —ooOoo— J’ai très bien dormi, et c’est l’odeur du café avec celle du pain grillé qui sont venues me souhaiter le bonjour. Je me retiens de saluer familièrement Sophie, mais la présence de sa mère me retient de l’impair. La journée s’annonce radieuse. Thomas est déjà parti pour son footing, me laissant seul avec les femmes de la maison. Au petit déjeuner, alors qu’Anne et Sophie me proposent jus de fruit et café, j’ai une révélation. Ces deux mains que j’ai sous les yeux ne se différencient que par le simple anneau de mariage à l’annulaire de la mère. Et un flash me fait revivre la vision de ce bras qui, cette nuit, dépasse de la porte et appuie sur l’interrupteur pour plonger la chambre dans l’obscurité.« Mais oui ! C’est évident ! Cette main, cette main gauche, elle portait une alliance ! C’est la mère ! C’est Anne qui est venue et avec qui j’ai fait l’amour. Incroyable. Énorme. » J’essaie de cacher ma surprise, d’autant que le mari, Thomas, qui revient, me demande, un sourire aux lèvres, si j’ai passé une bonne nuit. Je crois que j’ai su donner le change car le reste de la journée s’est passé dans une charmante ambiance, bien qu’étant toujours sur mes gardes pour ne pas faire d’erreur. —ooOoo— Le lundi matin, au ...
... bureau, après la traditionnelle réunion de cadrage, Thomas – pardon, mon patron – me demande de rester un peu. D’un geste amical, il me fait asseoir et me dit : — J’espère que vous avez passé un excellent week-end. Ma femme ne tarit pas d’éloges sur vous. Déjà, elle me demande de vous inviter à nouveau. Mais il faudra venir avec votre amie, Lise. J’aimerais faire sa connaissance aussi bien que vous connaissez maintenant ma charmante épouse. Je vais répondre une banalité, bien que ses paroles soient en partie surprenantes. Mais il reprend : — Je dois vous avouer, Robert, qu’Anne et moi sommes, comment dirais-je… libres. Un peu comme vous et Lise, si j’ai bien compris. En un éclair je comprends tout. Il est au courant que sa femme est venue la nuit. Ils sont complices… Il continue. — Mais oui. Je suis sûr que nous pourrions partager de délicieux moments. Qu’en pensez-vous ? Non, ne répondez pas tout de suite. Parlez-en entre vous. Et, m’invitant à sortir de son bureau : — Vous êtes invités tous les deux, le week-end à votre convenance. La première fois que j’ai vu cette femme, j’ai aussitôt senti une envie irrépressible de la prendre dans mes bras et de l’entraîner loin de la foule pour lui faire l’amour. Bien sûr, les choses ne se passent pas comme cela dans la réalité. C’était à la traditionnelle fête de fin d’année de l’entreprise, et la population était familiale : papa, maman et les enfants. Alors que je me dirigeais vers elle pour faire connaissance, Robert – un ingénieur de ...