Marilou et les boules de Geisha...
Datte: 21/09/2020,
Catégories:
f,
fh,
Collègues / Travail
ascenseur,
volupté,
fsoumise,
pénétratio,
jeu,
init,
... sensible et tellement serré qu’elle pousse un long cri de plaisir et de douleur au moment de la pénétration de Fred. Après quelques mouvements de va-et-vient, difficiles tant le vagin est gonflé à l’intérieur, que Fred change de position. A quatre pattes, en levrette, Fred revient se frayer un chemin dans une Marilou qui écarte elle-même sa vulve et ses lèvres pour mieux accueillir son amant. La nouvelle pénétration est moins douloureuse et rapidement le plaisir la gagne. Elle en accélère la montée en frottant doucement son clitoris, qui n’a pas débandé depuis le début de la montée des escaliers et lâche dans un long feulement de plaisir de longs jets de cyprine qui viennent lubrifier son sexe et permettent à Fred de la fouiller encore plus loin avec son membre, avant qu’il n’explose dans le fond de son sexe. Restant un instant immobiles, les deux amants tentent de reprendre leur souffle après une étreinte courte, rapide mais si intense. Après quelques contractions musculaires, Marilou expulse Fred de son sexe. Cette sortie la met à nouveau à la limite de l’orgasme tant ses chairs intimes sont gonflées, excitées et ...
... sensibles. Elle a l’impression que ses lèvres ont triplé de volume et que les parois de son sexe se touchent… Rapidement, les deux amants se rhabillent et sortent pour rejoindre le groupe de retraités. — Vous allez mieux, ma petite dame, interroge l’employé qui leur avait ouvert.— Oui, merci, merci beaucoup, répond Marilou, en ayant l’impression de rougir.— À votre service. Marilou, Fred à ses côtés, se dirige d’un pas rapide vers l’ascenseur Sud et tout en marchant, elle sent ses lèvres qui frottent l’une contre l’autre, tandis que chaque secousse engendrée par ses pas, se répercute au sein de son ventre, lançant de longues ondes d’un plaisir diffus. Se penchant à l’oreille de Fred, elle lui fait part de cette étrange sensation, comme si elle avait des boules de Geisha, mais virtuelles, encore profondément enfoncées dans son sexe. — Tu vois, lui murmure Fred en retour, je suis bien content de t’avoir fait offrir ces petites boules, si elles étaient venues de moi, directement, jamais tu ne les aurais mises et jamais tu n’aurais connu cette montée au Septième ciel …— Salaud ! Mais déjà le groupe de retraités les entoure.