1. Défaillance technique


    Datte: 13/10/2017, Catégories: fh, Collègues / Travail vengeance, chantage, Voyeur / Exhib / Nudisme jouet, attache,

    Je ne sais pas combien de fois j’ai déjà regardé cette vidéo. Je ne m’en lasse pas. Surtout du passage où la fille s’agenouille devant le gars et lui offre la gâterie dont il rêvait depuis des lustres sans oser l’avouer. Même excité par ce qui précède, c’est plus fort que moi : à ce moment du film, je ne peux m’empêcher de me marrer. À cause de ce qui va se passer ensuite… Il faut dire que le piquant dans cette affaire, c’est que le gars, c’est moi ! Je suis donc bien placé pour savoir ce qui m’attend. * * * Je végétais dans une entreprise de sous-traitance en matériaux aéronautiques, lorsque Maïté fut nommée responsable de la division « développements et innovations ». Du jour au lendemain, sans que je sache pourquoi ni comment, cette grande brune hyperactive, sapée comme une gravure de mode, me prit sous son aile. Quelques semaines plus tard, j’étais envoyé à l’étranger pour me former à la fabrication d’alliages révolutionnaires. Des trucs galvanisés et toronnés sous contrainte, d’une résistance à toute épreuve. Ma position s’améliora rapidement au sein de la boîte. On formait une équipe d’enfer. Maïté, le nez au vent, subodorait les besoins du marché, et moi, je développais des produits performants, conformément à ses propositions. Ceci dit, l’équipe performait uniquement dans le domaine professionnel. En ce qui me concernait, vu ce qu’elle laissait volontiers entrevoir de son anatomie et de ses dessous chics, une ouverture sensuelle m’aurait convenue. J’eus même ...
    ... quelques fois l’impression qu’on avait les mêmes goûts, qu’on partageait les mêmes envies. Mais Maïté m’imposa de rester à ma place, de peur de tout foutre par terre, comme elle disait, sans préciser qui de nous deux avait le plus à perdre. Car question place, nonobstant ses compétences professionnelles indéniables, celle qu’elle avait trouvée sur le sofa du patron lui garantissait un rôle enviable dans l’entreprise et devait agréablement améliorer son ordinaire. Tout le contraire de moi, qui dépendait professionnellement de son bon vouloir. Je me fis une raison et renonçai à intéresser une biche de ce gabarit autrement que par la qualité de mes inventions. D’où ma surprise le soir où elle vint me trouver dans mon atelier, avec une mine mi-gênée, mi-amusée. J’étais loin de me douter qu’à partir de ce moment tout allait s’emballer. — Le patron part dans trois jours pour le Japon.— Et en quoi est-ce que cela me concerne ?— C’est pour présenter notre dernière invention. La gloire, quoi.— Sauf que, comme d’hab’, tu vas me dire que ce ne serait pas raisonnable de fêter ça en son absence.— C’est lui qui m’envoie te parler.— Tu pars avec lui ? Tu veux ma bénédiction ?— Non, justement, je reste… avec toi !— Ne sois pas cruelle. Tu restes, OK, mais sûrement pas avec moi.— Le patron est persuadé que tous les mecs de la boîte cherchent à me sauter. Il flippe grave à l’idée de ne pas pouvoir me surveiller pendant les deux prochaines semaines. Il n’a confiance qu’en toi.— La belle affaire ! Je ...
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