1. Défaillance technique


    Datte: 13/10/2017, Catégories: fh, Collègues / Travail vengeance, chantage, Voyeur / Exhib / Nudisme jouet, attache,

    ... procéder à quelques améliorations « sur la bête ». Jamais je n’aurais imaginé qu’elle puisse se déshabiller aussi naturellement devant moi. Ni surtout qu’elle se laisse frôler, voire beaucoup plus, suivant où je devais procéder à des corrections techniques. Rapidement mise en condition par la promiscuité que mes réglages imposaient, la jeune femme en rajouta. Avant d’enfiler la ceinture, elle se laissait contempler sous toutes les coutures. Ou alors, en fixant le montage autour de ses reins, elle écartait largement les fesses, apparemment pour mieux faire coulisser les attaches entre ses cuisses. D’autres fois, elle se caressait longuement, comme pour s’assurer que les brins protégeaient son intimité aussi agréablement qu’efficacement. Comment ne pas succomber à de telles avances ? À chaque essayage j’avais un peu plus de peine à garder mon calme. Au point de devoir plus d’une fois calmer sous la douche les tempêtes sensuelles que nos rencontres secrètes provoquaient. Il faut dire que plus le temps passait, plus la belle se laissait aller. Elle finit même par m’autoriser des contacts nettement plus intimes et beaucoup plus intenses. Sur le moment, j’ai considéré son abandon comme une marque d’intérêt pour ma personne. J’ai réalisé trop tard que c’était l’occasion de servir de modèle pour un instrument d’absolue loyauté sexuelle, dans une déraisonnable débauche de voyeurisme et de sensualité, qui l’excitait le plus. Elle n’eut aucune difficulté à me pousser à bout lors du ...
    ... dernier essai. Elle commença par m’informer selon le canal habituel que le patron allait s’absenter quelques heures, ce qui nous laissait toute liberté de profiter de son bureau. À mon arrivée, elle se déshabilla de manière particulièrement suggestive. Plutôt que d’enfiler la ceinture que je lui tendais, elle commença par me faire découvrir ses somptueux dessous, qu’elle prétendit avoir achetés pour l’occasion. Puis, sans transition, elle se mit à me caresser. Avant que je lui rappelle ses principes de prudence, elle avait déjà eu raison de la fermeture de mon pantalon et tenait ma queue bien en main. Trop heureux de l’aubaine, je la laissai me prendre en bouche. En quelques minutes, elle avait rattrapé le temps perdu, en me faisant profiter de tout ce que nous n’avions pas partagé au cours des précédentes retrouvailles. Tout y passa, des coups de langue les plus voluptueux aux caresses les plus impertinentes, sans oublier quelques irrésistibles nouveautés qui enrichirent à jamais ma mémoire érotique. De toute évidence, contrairement à ce qu’elle m’avait laissé supposer, Maïté était avide de chair masculine, sans considérations de rang et de grade. Quel sot j’avais été de ne pas en profiter plus tôt ! Lorsqu’elle comprit que j’arrivais à la limite de résistance de mes matériaux intimes, elle relâcha la pression, évitant de peu la surchauffe. Après s’être reculée de quelques pas pour mieux contempler l’effet qu’elle me faisait, elle se retourna et me tendit ses fesses. — Tu n’as ...
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