Lazarius et l'antiquaire (5)
Datte: 22/09/2020,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... était en train de m’allumer, de me chauffer même. Mais c’était son somptueux derrière qui allait bientôt monter en température. Elle prit la posture que je venais de lui ordonner et en se contorsionnant avec une grâce certaine, elle passa une main puis l’autre sous sa robe, et je vis sa culotte, un ravissant tanga de dentelles rose pâle descendre au bas de ses cuisses, sur ses bas, ce qui me confirma que ça n’était pas un collant qu’elle portait ! Ce détail, pour le connaisseur que je suis, a son importance, et il suffit d’un petit rien supplémentaire pour me mettre en appétit, ou plutôt pour me l’ouvrir davantage. Je pris mon temps pour me lever de mon fauteuil, et m’approchai lentement, nonchalamment, de mon antiquaire qui m’attendait bien docilement. Je jugeai cependant que sa posture n’était pas parfaite. Aussi, lui dis-je sur un ton sévère : iltijjw " - Cambrez-vous plus. Creusez les reins. Tendez-moi cette croupe bien ronde, bien pleine. Et écartez un peu les cuisses - du moins autant que votre culotte qui les entrave le permet… mais laissez-là où elle est, c’est parfait : ça vous donne un air pas bien malin et j’aime ça ! J’aime les écolières qui présentent bien leur cul parce qu’elles savent qu’elles ont mérité d’être punies et qu’elles savent ce qui les attend ! Enfin une écolière…" rajoutai-je après un silence et sur un ton moqueur et condescendant…"Quel âge avez-vous, Madame l’antiquaire…? — Cinquante-sept ans" répondit-elle d’une voix presque éteinte. " - ...
... Combien ? Je n’ai pas entendu ! — Cinquante-sept ans" redit-elle plus clairement. " - Eh bien", continuai-je, "et vous ne ressentez pas de honte, à cinquante-sept ans, d’être traitée comme une gamine mal élevée ou gaffeuse ?! — Si… — Vous vous sentez comment, là…? — Je me sens humiliée… — A la bonne heure. C’est parfait…! C’est tout ce que vous ressentez ?" ajoutai-je après un nouveau silence. — Non… Je… — Oui…? — … — Oui, quoi…? J’attends…! — Je… Je suis excitée" continua-t-elle d’une voix faible. " - Ahhh, nous y voilà. Voilà qui devient intéressant. Vous en avez donc envie de cette fessée…? — Oui… — C’est donc plutôt pour que je vous fesse que vous m’avez demandé de venir, n’est-ce pas ? — Oui. — Faute à moitié avouée est déjà pardonnée" ajoutai-je sur un ton plus doux. Et comme en lui parlant, j’étais arrivé en face d’elle, je pris son menton entre mes doigts et l’embrassai doucement mais à pleine bouche. Elle me rendit son baiser, et nos langues se mêlèrent passionnément pendant une bonne dizaine de secondes. Quand mes lèvres se décollèrent enfin des siennes, elle leva des yeux presque implorants sur moi et prononça très doucement : " - S’il vous plait, n’y allez pas trop fort… — Faites-moi confiance. Je fais toujours en sorte que le remède ne soit pas pire que le mal. Et le mal" dis-je alors que je m’étais replacé derrière son séant bien galbé, "…est là" ajoutai-je alors que ma main droite était passée sous sa robe et qu’elle avait trouvé à l’aveuglette le chemin le plus direct ...