Lazarius et l'antiquaire (5)
Datte: 22/09/2020,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... pour atteindre ce qu’elle cherchait : mes doigts avaient écarté délicatement les lèvres de son sexe où je sentis, avec ravissement, une moiteur plus qu’émouvante. Elle frissonna à ce contact, surprise de ce que mes doigts eurent si rapidement atteint leur cible. Toujours à l’aveugle, j’entrouvris la fleur aux pétales soyeux, en caressais l’intérieur, appréciant le contact humide, recueillis les quelques gouttes de rosée qui y perlaient, et portant mes doigts à ma bouche, et fermant les yeux, je les suçai avec félicité ! " - Hummm…" ne pus-je m’empêcher de prononcer. Mon antiquaire ne me vit pas faire car elle avait gardé bien docilement la posture exigée, les reins bien cambrés, le dos droit, et elle regardait bien en face d’elle, comme une bonne soumise zélée, mais elle dut bien comprendre ce que je venais de faire. Ne souhaitant pas la faire languir plus longtemps, je pris le bas de sa robe des deux côtés et commençai à la remonter lentement. Le spectacle de ses cuisses bien pleines dans leur fourreau de nylon gris était des plus délicieux. " - Bon, il est temps de passer aux choses sérieuses. Quand une jolie femme me fait faire cent-soixante kilomètres pour la fesser, il ne faut pas la décevoir. Et un aussi beau fessier, aussi plantureux, aussi épanoui, n’a le droit de souffrir d’aucun amateurisme, d’aucune approximation." Je vis ses reins se creuser : mes mots choisis avec précision semblaient la mettre dans tous ses états, la tante. Je remontai ...
... le plus lentement possible la robe en lainage, jusqu’à révéler les jarretières des bas auto-fixants qui serraient le haut de ses cuisses grasses, puis, continuant mon ascension, je découvris ses deux globes bien larges, bien épanouis, et d’une blancheur attendrissante. Comme j’avais défait sa ceinture qui cintrait bien sa taille (en mettant ses formes en valeur), je repliai la robe sur le haut de ses reins et rebouclai sa jolie ceinture souple pour maintenir le tissu et empêcher qu’il retombe. La grosse pêche bien fendue du bas des reins jusqu’à la vulve pulpeuse trônait devant mes yeux, bien exposée, bien offerte. J’admirai de longues minutes ce somptueux fessier comme une parfaite et précieuse œuvre d’art dont on vient de faire l’acquisition, n’osant pas même l’effleurer et encore moins le caresser, m’extasiant en silence sur ce chef d’œuvre de la nature féminine, appréciant les courbes, les arrondis, les plats et méplats de la peau moelleuse, les délicieuses petites pentes qui en font la courbure magnifique. Finalement, interrompant ma rêverie émue, je lui annonçai calmement mais solennellement : " - Je vais vous fesser, Madame." * Rappel : syndrome de Barjavel : maladie (à l’agent pathogène inconnu) qui a décimé en 3 ans presque tous les individus du sexe mâle, réalisant ce que cet auteur de science-fiction avait imaginé dans son roman Ravage. Seuls 0.002 % d’hommes y ont survécu, dont Lazarius (cf mon histoire Lazarius & la dame aux cheveux gris.)