L'homme nu
Datte: 22/09/2020,
Catégories:
fh,
Collègues / Travail
toilettes,
hsoumis,
fdomine,
chaussures,
Oral
pénétratio,
sm,
délire,
... c’est aussi délicieux. Souffrance et plaisir de faire plaisir. Ainsi je me rends compte que l’explosion est retardée. Je souffle comme un taureau. — Ne serre pas trop, tu sais, tu risques de faire saigner cette belle colonne de chair. En effet, je la vois devenir rouge, rouge de mon sang ! — Stop ! Sa voix me brûle. Elle se redresse un peu. Sa brune chevelure plonge vers mon ventre. Je plonge, je tombe dans sa bouche chaude. Cet antre m’aspire entièrement, je vais partir dans l’instant. Ooohh Clotilde ! Un hurlement ! Mon hurlement ! Je crie de bonheur de me voir pomper par cette femme, agenouillée devant moi. Elle a plaqué ses mains sur mes fesses qu’elle pousse vers elle pour que ma hampe puisse pénétrer complètement sa bouche, je m’enfonce dans sa gorge profonde… Elle a maintenant le nez dans la toison de mon pubis, sa gorge m’avale encore davantage. Comment une femme si fragile peut-elle me gober de la sorte ? Telle est la question qui transperce mon cerveau lorsque mon amante relève son visage vers moi. Son regard me brûle, il m’enflamme littéralement les sens. Ses petites mains recueillent mes lourdes bourses, elle les caresse divinement. Un frisson parcourt mon épine dorsale. Je vois ses lèvres distendues par l’imposant diamètre de ma verge. Elles sont soudées à ma peau. Sa langue prend le relais, elle se retire lentement et ses petites dents raclent la fine peau de mon sexe. Je la regarde et me laisse faire par cette Reine de la fellation. Mon gland violacé ...
... tressaute maintenant sur son menton. Elle sourit, puis souffle sur ma queue en me lapant comme une lionne. Elle bave. Je sursaute. Elle vient de me mordre la cuisse droite. Une toute petite morsure. Un picotement court dans toute la jambe. Elle colle ses lèvres contre la blessure, elle me boit. De sa main libre, elle me masturbe lentement, très doucement. Je ne ressens aucune douleur. Par contre une boule de feu irradie mon ventre. Je gémis. Des spasmes contractent mon abdomen, elle continue à me boire. Je hurle à nouveau lorsque je vois, et surtout je sens que ses doigts cessent leur caresse masturbatoire, car sa main enserre fortement ma hampe. Elle la presse entre ses petits doigts comme pour en extraire mon jus. Halluciné, je vois mon gland s’empourprer davantage, il grossit encore. Je suis au bord de l’évanouissement. Cette femme vient de provoquer des dizaines de petits orgasmes, sans pour autant enclencher une éjaculation. Je transpire abondamment, des gouttes de sueur tombent dans sa brune chevelure, et je continue de crier ma joie au-dessus d’elle avant de tomber à la renverse sur la moquette de mon bureau. *** J’ouvre les yeux. Elle est au-dessus de mon visage. Elle sourit en se passant la langue sur ses lèvres. — Merci, me souffle-t-elle. Puis elle se baisse encore, sa bouche se colle à la mienne, nous nous embrassons passionnément. Sa langue virevolte en moi. Ses fins bras enserrent ma tête. Elle est assise sur mon torse, je suis bien. Le trou noir. J’ai l’impression de ...