L'homme nu
Datte: 22/09/2020,
Catégories:
fh,
Collègues / Travail
toilettes,
hsoumis,
fdomine,
chaussures,
Oral
pénétratio,
sm,
délire,
... tomber encore et toujours, loin plus loin vers les ténèbres. *** Le silence. C’est le silence qui me réveille. Ma tête bourdonne. Je suis nu, assis sur la moquette de mon bureau. J’ai la bouche pâteuse, mon sexe flasque pendouille entre mes cuisses. Le membre est maculé de sang séché. Je reste un moment perplexe avant que le flot des souvenirs ne jaillisse tel un geyser dans mon esprit. « Mon Dieu, c’est cette femme, elle s’est abreuvée à moi ». Je me souviens maintenant clairement qu’après notre câlin, elle s’est à nouveau jetée vers mon bas-ventre. Je me rappelle avoir vu ses lèvres s’écarter, sa langue longue et rose jaillir, puis j’ai vu ses crocs s’avancer vers le tronc de chair et le gland violacé. Ensuite elle plongea. Je hurlais à nouveau, fou de terreur cette fois. Ensuite je me suis senti aspirer dans sa bouche, complètement sucé, pompé, asséché. Je ne pouvais plus bouger, car j’étais paralysé. Elle mangeait mon sexe, elle le pressait dans sa gorge. D’entre ses lèvres, des perles rouge sang coulaient. J’éjaculai de nombreuses fois en me tordant de joie malgré ma terreur. Maintenant je reprenais mes esprits. Lentement je me levai, je m’appuyai à un fauteuil. Mes cuisses me faisaient souffrir, je me sentais lamentablement usé, laminé comme si un 38 tonnes m’avait percuté. Je découvris mes vêtements froissés posés sur mon bureau. La pendule affichait 13h00. Comment ? Seulement 30 minutes s’étaient écoulées depuis que cette femme avait franchi la porte ? Je ne ...
... comprenais plus et m’habillai en toute hâte en boutonnant mon veston afin de cacher ma chemise déchirée. J’enfournai ma cravate découpée dans un tiroir et filai vers la fontaine à eau pour me rafraîchir. L’après-midi se déroula calmement. Mon assistante ne me fit aucune remarque sur le fait que je travaillai habillé de ma veste et le col de chemise déboutonné. J’avais chaud, je brûlai intérieurement, j’avais continuellement soif. À plusieurs reprises, je m’esquivai aux toilettes et m’enfermai dans la cabine pour vérifier l’état de mon sexe. Celui-ci me lançait, il me piquait. Mes bourses elles aussi devenaient plus lourdes, elles se balançaient entre mes jambes velues. Toc ! Toc ! On frappait à la porte des toilettes. Je restais interdit, sans bouger. — Branle-toi, je le veux dit la voix rauque. J’hallucinais ! Le cauchemar recommençait. Je vis la poignée bouger. Il me semblait bien avoir fermé la porte à clé. Pourtant elle s’ouvrit lentement. — Alors ? Elle était là. Elle me souriait. — Je suis ta nouvelle directrice, mon cher Balou. Je plongeai mon regard dans ses yeux émeraude en sentant une violente érection se déclencher. Elle s’avança encore. Je n’avais pas remarqué immédiatement qu’elle était entièrement nue. Son corps longiligne se colla à moi. — Assieds-toi ! Je posais mes fesses sur le couvercle des toilettes. C’était froid. — Bois ! Je plaquai mon visage contre sa noire toison. Elle prit ma tête entre ses mains et l’appuya fortement contre son ventre. Elle gémissait, ma ...