L'homme nu
Datte: 22/09/2020,
Catégories:
fh,
Collègues / Travail
toilettes,
hsoumis,
fdomine,
chaussures,
Oral
pénétratio,
sm,
délire,
... langue la pénétra, je la buvais à mon tour. C’était chaud, sucré, mielleux. Je humai son odeur épicée, un parfum oriental que je connaissais bien… Je passai mes doigts entre ses fesses, elle continuait de gémir. Je sentais qu’elle fondait complètement. Cette femme était beaucoup plus douce que l’autre, et pourtant c’était la même personne que je suçai en cet après-midi de printemps. — Reste assis, me susurra-t-elle dans le creux de l’oreille. Je vais m’empaler sur toi, mon chéri. Elle prit appui sur mes épaules en y posant ses mains, puis cuisses écartées elle coulissa lentement vers ma hampe fièrement dressée. Immédiatement je me retrouvai au chaud. Les picotements d’avant avaient disparu. Elle montait et descendait sur ma tige de chair. — Je suis Clotilde, ta nouvelle directrice, lança-t-elle entre deux va-et-vient. Nous apprenons à nous connaître, continua-t-elle en soupirant un peu. Nous haletâmes trop bruyamment à mon goût. Je fus saisi par l’angoisse. — Ne t’inquiète pas, je maîtrise la situation. Elle lisait dans mes pensées, j’en avais la désagréable impression. Je sursautai. Elle venait de me mordre le lobe de l’oreille droite. Elle jouissait soudée à moi. Elle me serrait fortement en criant des « Oui, oh oui, oui oui » comme une litanie. Je réussis à la maintenir dans l’axe en plaquant fermement mes mains contre ses fesses. Hélas pour moi, je ne réussis pas à jouir. Amusée, elle me regarda intensément, toujours assise sur moi. Ensuite sa ...
... bouche embrassa mon cou, mes joues, mon menton. Son haleine était mentholée, j’adorais. — J’aime ton dévouement, mon cher Balou. Tu seras un collaborateur émérite je le sens.— Je ne savais pas que notre directeur nous avait quittés, répondis-je.— Sois sans crainte il va bien, nous allons faire de belles choses ensemble toi et moi, murmura-t-elle avant de se relever.— Tu devrais te branler. Regarde ta queue et tes bourses comme elles sont grosses. Clotilde se tenait à nouveau debout devant moi. — Allez vas-y, tu verras, tu hurleras de joie. Je souriais en lui rétorquant : — Et vous, vous ne branlez jamais vos collaborateurs ? Elle me foudroya du regard. Un regard noir ! — Jamais Monsieur ! Jamais ! Tu es un adepte de l’onanisme non ? À toi de te faire jouir. Puis elle sortit en rigolant. Je me retrouvai tout con, assis sur la cuvette des chiottes, avec un menhir entre les jambes. *** — À quoi penses-tu ? Retour sur terre. Je quittai Clotilde un peu à regret. Vanessa me regardait bizarrement. — Euh à rien… Ah si, c’est aujourd’hui que débarque mon nouveau chef. Enfin euh… c’est une femme. Vanessa éclata de rire. — J’espère qu’elle arrivera à te mener à la baguette ! Un grand moment de solitude m’envahit. — Quoi ? Hein ? Tu déconnes ! rétorquais-je. À son tour, ma femme eut l’air ahuri. Je lui lançai : — Bin oui quoi, elle ne me mènera pas à la braguette ! Je compris le quiproquo. Nous éclatâmes de rire devant nos tasses de café du matin. Fin Balou, hiver 2007